« Michel Cloup, n’avance pas masqué. La voix est brute et sans effet »assumée. Pour pallier à sa fragilité et sa faiblesse tout passe dans l’émotion » Ainsi Stéphane Monnot décrivait il y a quelques semaines dans sa chronique hebdomadaire [Monnot mania] le talent de Michel Cloup, au moment de critiquer l’album.
Il s’interdisait d’y citer Diabologum. OK. Mais pourtant difficile de ne pas y voir une filiation directe à plus de 20 années de décalage. Les thématiques quotidiennes, proches des gens, les questionnements liés à la génération. Le spleen aussi un peu.
Mi janvier, avec TV5MONDE, j’ai eu l’occasion de partir à la rencontre de Michel et Patrice lors d’un passage impromptu à Paris, en retour de concerts dans les alpages, et avant de rentrer à Toulouse en camionnette.
L’occasion de poser quelques questions à , celui dont, je n’ai pas peur des mots, je suis surtout et avant tout fan inconditionnel, en faisant fi du refroidisseur de la poursuite lumière du point éphémère, qui s’est piqué de jouer les trublions :
Et puis de nous plonger dans un live à l’arrache, tout en simplicité, armé d’une guitare baryton au son à me faire mourir de jalousie :
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La critique de Monnot
Le site web de Michel Cloup
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