Les Médias Francophones Publics proposent durant tout l’été une série de neuf épisodes qui va nous faire vivre ou revivre la folie des années 80 avec ses joies, ses drames… et ses musiques oubliées. Gros coup de nostalgie garanti !
Vous êtres fan des années 80, oui mais fan jusqu’au bout de seins ? Ce programme concocté par les Médias Francophones Publics – à qui l’on doit la série consacrée à Bashung (de l’aube à l’aube), Higelin, Barbara, Gainsbourg ou Etienne Daho – est fait pour vous !
Une série en neuf épisodes imaginée et écrite par la radio La Première (Belgique) qui va nous faire vivre ou revivre la fameuse « folie des années 80 ».
Diffusé en juillet et août, le dimanche à 17 heures sur France Inter, et bien sûr en podcast, cette série consacre chaque semaine un épisode à une année en particulier, allant de 1981 à 1989. En revenant sur les grands événements qui se sont déroulés durant cette décennie, Marion Guillemette nous replonge dans les moments forts qui ont marqué ces années 80 marquées par le fric, le sexe, la provoc.
Ainsi, vous allez revivre, l’élection de Mitterrand, la candidature de Coluche, les années, Thatcher et l’utra-libéralisme, l’arrivée du CD, le phénomène Thriller de Michael Jackson, l’arrivée des radios libres, du Top 50, du jeu vidéo, du magnétoscope, la naissance du hip-hop, ou encore les grands mouvements solidaires du milieu des années 80 comme les « Live Aid » et les restos du cœur. On reviendra aussi sur des événements plus tristes comme l’arrivée du Sida, le drame du Heysel en 1985 et celui de Tchernobyl en 1986 et bien sûr La chute du Mur de Berlin en 1989.
> Tous les épisodes en podcast
Des souvenirs illustrés par de nombreuses archives sonores, commentées par des témoins de l’époque (Laurent Fabius, Yves Bigot, Marius Colucci…) et des journalistes (Pierre Marlet…) ou des auteurs d’essais (Mathias Goudeau…)
Une série qui s’écoutera forcément avec beaucoup de nostalgie pour se souvenir d’une époque où rien n’était formaté ou presque, où l’amateurisme régnait encore en maitre, où l’on pouvait tout se permettre… le meilleur comme le pire.