Ultra Romances – Avaler la mer : électro-poésie
Un nouvel album d’une électro-pop poétique et subtile signé Ultra Romances. Avaler la mer est un album plein d’électronique qui nous parle d’amour et de sentiments. Un moment doux et beau, et triste !
Un nouvel album d’une électro-pop poétique et subtile signé Ultra Romances. Avaler la mer est un album plein d’électronique qui nous parle d’amour et de sentiments. Un moment doux et beau, et triste !
Le duo lillois revient avec un troisième opus moins industriel, plus dansant, plus souple et moins grinçant que les précédents. Mais une musique toujours aussi exigeante et ambitieuse. Dear Deer se construit une belle identité musicale.
Après sa trilogie Reykjavik noir, Lilja Sigurdardóttir revient avec un autre polar sur son petit pays. Plusieurs intrigues qui s’emboîtent et se développent autour d’une sacrée galerie de personnages. Un roman qu’on lit d’une traite, tant on se languit de voir comment il va terminer.
Fontanarosa combine avec bonheur des morceaux rapides à d’autres plus lents, des ambiances post-punk à d’autres plus sixties. Cela donne un album varié mais homogène. Et surtout un très bon album.
L’édition deluxe de l’album Concorde du groupe Le couleur est parue ! 23 morceaux de musique gaie et dansante, mélancolique, drôle et grinçante. Du second degré pour faire danser. De l’excellente pop-disco-électro.
Une écriture fluide et claire, légère comme le sable. Une éloge de la lenteur, de l’immobilité, du retour aux sources… dans un motel crasseux sous des températures caniculaires au milieu du désert. Un premier roman, à dévorer en le dégustant.
Avec Tangerine, les parisiens de Persica 3 nous offrent 7 morceaux pour 25 minutes d’une musique lumineuse et sensible, chaleureuse et riche (et simple à la fois). Des morceaux superbes de subtilité, de joie, de sérénité.
Faire d’un journal de deuil un album lumineux et chaleureux ? Un paradoxe ? Une contradiction ? Oui et non, c’est 1988, Chroniques d’un adieu, le denier album de Maud Lübeck qui nous explique comment elle a réussi ce tour de magie musicale.
Proletkult est le roman de presque tous les rendez-vous manqués : entre une fille et son père, un homme et l’Histoire, l’Histoire et l’Histoire, l’humanité et l’humanité… mais pas de Wu Ming avec la littérature. Heureusement pour nous. C’est ce qui nous sauvera.
Un album de Maud Lübeck est la garantie de sentiments forts et difficiles, de textes raffinés et intelligents, de mélodies fines et subtiles. C’est encore le cas avec 1988, qui nous rappelle aussi qu’on n’écoute pas de la musique que pour le plaisir.