Le vice-préfet, le héros de Antonio Paolacci et Paola Roncon, revient pour une enquête à rebondissement. Un voyage dans les ruelles du centre baroque de Gênes, dans les méandres de l’enfer de la méchanceté et de la mesquinerie humaine !
Brian Evenson est un auteur reconnu, et on comprend pourquoi chaque fois qu’on le lit. Avec ces comptines pour un monde qui se dissout, il frappe encore très fort. C’est souvent horrible, quelquefois dégoûtant mais aussi très drôle.
Une rencontre, 3 filles, 1 garçon qui se mettent à faire de la musique et qui réussissent leur album, avec des mélodies qui trottent dans la tête, de superbes voix, des guitares et synthés suffisamment acides pour relever le tout. Vraiment une belle réussite.
Espérons que Prodome soit une consécration publique pour Benjamin Porraz ! Entre funk-psychédélique, électro-pop, et pop tout court, il signe sous le nom de KLEIN un album parfaitement délicieux, cinématique, plein de rêves et d’images.
Rencontre avec Amelia Fletcher et Rob Pursey, du label anglais Skep Wax Records, à l’occasion de la sortie de la compilation Under The Bridge 2 : 14 titres composés par des artiste de Sarah Records, label phare du début des années 90.
Personne ne devrait être surpris que James Hoare / Penny Arcade soit capable, encore et quasiment toujours, de produire des albums de ce niveau-là, une musique parfaitement dépouillée, réduite à l’essentiel sans être réduite à pas grand-chose.
Second album pour Fontanarosa, qui confirme tout le bien qu’on avait pensé du groupe avec sa précédente livraison. Une musique qui s’affirme, toujours dans la diversité, entre swinging 60s et psychédélisme 70s, entre rock électrique et folk-psychédélique.
Inventer un nouveau personnage de roman policier n’est pas facile. Sara Vallefuoco réussit le pari. 1899, la Sardaigne, un policier turinois homosexuel qui, grâce à son empathie pour les autres (et avec quelques indices), réussit à résoudre une enquête pour meurtre.
Hannah Miette propose des chansons douces et sombres, subtiles, bien écrites et arrangées, et superbement chantées. Des musique folk, avec des influences pop et un fond expérimental.
Trahisons dans tous les sens. Amours déçus et trompés. Détournement de fonds. Maffia russe. Lilja Sigurdardóttir prend tout ça, agite au shaker, et ça donne un excellent roman.