
marcel – charivari : Un vrai bordel, un vrai plaisir !
marcel nous offre avec charivari une ode à la vie et à la musique. Un album qui mélange les styles dans le plus pur esprit punk, celui qui s’affranchissait des codes et des frontières.
marcel nous offre avec charivari une ode à la vie et à la musique. Un album qui mélange les styles dans le plus pur esprit punk, celui qui s’affranchissait des codes et des frontières.
Picastro, qui joue du folk expérimental, est un groupe rare et discret. Liz Hysen, qui l’a fondé il y a quelques décennies déjà, partage avec nous quelques confidences (rares) sur la musique, l’art et le sens de la vie. Et l’importance de la famille.
La petite-fille est un nouveau roman sur l’Allemagne et les Allemands, comme Bernhard Schlink sait si bien les écrire, sur la politique et l’histoire de ce pays, sur ses fractures mais aussi sur les relations humaines, et sur les ressorts psychologiques qui animent les gens.
Paul Pavlowitch ? Ah oui, le petit cousin de Romain Gary et qui avait fait croire que… Non ! Paul Pavlowitch l’écrivain ! Oui, qu’on se le dise et qu’on se le rappelle, c’est un écrivain. Qu’il ait peu écrit ne change rien à l’affaire.
José Eduardo Agualusa a écrit un roman comme un mouvement continu de personnages et d’histoires. L’air de rien, avec sobriété, José Eduardo Agualusa nous explique pourquoi la littérature est si belle et si importante.
Album riche et coloré, chaud et festif, plein à ras-bord de rythmes, de percussions, de cuivres et de pop. Chaque morceau a son petit truc à lui, ce petit gimmick, ce petit twist, qui le rend intéressant et fait de Get Up Sequences Part Two un album merveilleux.
On se laisse assommer par les 10 morceaux de New York City. 40 minutes de son brut, de guitares crades, de voix hurlantes. Du rock’n’roll mâtiné de punk, ou l’inverse. L’urgence dans la flamboyance. La classe dans le caniveau. Splendide. Épuisant.
Le premier album de Sandrine St-Laurent est une réussite de premier ordre. Simple, qui ne se prend pas pour ce qu’il n’est pas, mais si bien écrit, si bien chanté, si bien arrangé. Plein de douceur et de mélancolie…
Avec Anna Thalberg, Eduardo Sangarcía a écrit un roman magnifique, superbe, impressionnant de puissance et de majesté. Un roman qui nous met en garde une fois de plus contre la défense fanatique du BIEN, quel qu’il soit.
John Cale nous gratifie d’un album riche et enthousiasmant. C’est ce que tout le monde dira, probablement. Et justement. Il n’y a pas de raison de bouder son plaisir quand l’un des plus grands musiciens du 20ᵉ siècle réussit à faire encore un album spectaculaire.