Pas forcément les « meilleurs » disques des années 70, mais ceux qui nous ont accompagnés, que nous avons aimés : les Stooges cognent très fort sur ce Fun House incendiaire et désormais culte, qui défonce tout sur son passage dans un fracas jouissif, rauque et teigneux.
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : le second album du Velvet Underground, ce monstre noir, cette hallucinante expérience sonique…
Rétrospective des années 60 vues par le petit bout de la lorgnette, c’est-à-dire nos goûts personnels plutôt que les impositions de « l’Histoire ». Aujourd’hui : le premier album des Doors, un disque devenu un véritable mythe.
L’été, période propice aux rattrapages, et en particulier des albums à côté desquels nous étions passés. Aujourd’hui, le dernier John Cale, POPtical Illusion, qui prouve que l’ancienne tête pensante du Velvet Underground reste toujours ambitieux et créatif.
Les albums de rééditions se suivent et ne se ressemblent pas : ce que VU réussissait avec brio, Another View le rate magistralement. Un disque à oublier en attendant des compilations ultérieures bien plus respectueuses de « l’esprit Velvet ».
Première d’une longue série de compilations à venir dans des coffrets pour complétistes, VU dévoile de beaux inédits dont la fraîcheur surprend encore, des années plus tard… Et frappe juste et fort. La grâce ?
Sorti de manière opportuniste après que Lou Reed ait entamé sa carrière solo, le Live at Max’s Kansas City retranscrit son ultime concert avec le Velvet. Il s’agit malheureusement d’un enregistrement « amateur » de piètre qualité, qui a donc une valeur historique plus que musicale.
Monstrueux coffret destiné aux (nombreux) rétromaniaques fans de Bowie époque Ziggy Stardust, Rock’n’Roll Star est une mine de musique et d’information. En voici une première visite d’exploration !
Largement surévalué à sa sortie par une critique et des fans ravis par le retour de Bowie après 10 ans de silence, et surtout beaucoup trop long, The Next Day nous fut présenté comme l’album d’un sexagénaire faisant le deuil de sa jeunesse, alors qu’il assemblait surtout des styles déjà entendus au cours des années 90.
En 2000, Bowie, en mode nostalgie, s’enferme dans un studio avec ses musiciens / amis, pour redonner une seconde vie (une seconde chance ?) à des morceaux qu’il avait composé au tout début de sa carrière. Avec un résultat mitigé ! Retour sur un album refusé à l’époque par la maison de disques…