« Le Royaume » : un thriller corse intense mais convenu.
Entre la brutalité de règlements de comptes sanglants et la tendresse de la relation entre un père et sa fille, Le Royaume fait le portrait d’une île gangrénée par l’atavisme de la violence.
Entre la brutalité de règlements de comptes sanglants et la tendresse de la relation entre un père et sa fille, Le Royaume fait le portrait d’une île gangrénée par l’atavisme de la violence.
En situant son dernier roman Madelaine avant l’aube dans un univers étrange, hors du temps et hors du monde, Sandrine Collette témoigne une fois de plus de son talent de conteuse, à travers le destin d’une petite fille bien déterminée à changer l’ordre des choses.
Dans ce récit autobiographique, Clémentine Mélois retrace les dernières semaines de son père, Bernard Mélois. Faisant revivre avec tendresse et drôlerie l’histoire de sa famille, elle livre un émouvant portrait de celui qui lui a transmis son regard singulier et joyeux sur le monde.
48 heures dans la vie de Souleymane, un coursier guinéen à Paris, qui espère sortir enfin d’une clandestinité synonyme de précarité et d’exploitation. Un film fort qui met dans la lumière ces travailleurs invisibilisés et les drames qu’ils vivent et ont vécus.
Dans une Corse gangrénée par la violence, Jérôme Ferrari analyse la mécanique déterministe qui, pour une broutille, a conduit Alexandre Romani, un jeune insulaire, à assassiner un continental de ses amis.
Gaël Morel imagine une réinvention des rapports amoureux dans une histoire qui témoigne de la réalité tragique des premières années du SIDA et de la façon dont elle a changé notre rapport au monde avant la découverte de la trithérapie.
Reprenant avec son « Rapport 21 » le rapport Meadows qui, dans les années 70 dénonçait les dangers d’une croissance incontrôlée, Abel Quentin construit une fiction aussi drôle que féroce autour des quatre scientifiques qui en sont les auteurs.
« Rue du Premier-Film » retrace la saga de la famille Lumière et de l’Institut qui porte son nom à travers le regard de son directeur, Thierry Frémaux. Une réflexion féconde sur le septième art et quelques-uns des films qui ont marqué son histoire.
Organisé autour de trois moments de la vie de Barberie Bichette, une femme démunie face à la cruauté du monde, Ma vie Ma gueule est un film poétique, à la fois ludique et tragique, qui nous incite à poser un regard neuf sur nos vies.
Pourquoi ressentir une telle angoisse en découvrant Les Nymphéas ? Quels secrets Monet a-t-il bien pu, consciemment on non, dissimuler dans ces grands panneaux ? Grégoire Bouillier, alias le détective Bmore, mène l’enquête avec érudition, humour et brio.