« Crépuscule à Casablanca »: un polar sur fond de géopolitique marocaine des années 50
Crépuscule à Casablanca est polar old-style avec une détective façon Nestor Burma et un panorama très instructif de la géopolitique du Maroc dans les années 50.
Crépuscule à Casablanca est polar old-style avec une détective façon Nestor Burma et un panorama très instructif de la géopolitique du Maroc dans les années 50.
Misogynie est une très courte nouvelle où l’irlandaise Claire Keegan nous brosse un portrait rapide de la misogynie ordinaire.
Blizzard, le premier roman de Marie Vingtras paru en 2021 raconte une histoire qui tourne au drame dès la première bourrasque de neige, dès la première page. Un roman noir. Un vrai !
Les enfants maigres, de Tang Loaëc est roman très court sur un sujet terrible : en Chine, les enfants volés pour travailler clandestinement dans des usines illégales. Un aspect effrayant de notre esclavage moderne.
Dans Le voyage du Salem, Pascal Janovjake raconte une escroquerie maritime incroyable mais vraie : en 1980 un pétrolier géant disparaît avec sa cargaison au large de l’Afrique ! 200.000 tonnes de pétrole et 50 millions de dollars perdus en mer !
Avec toi je crains rien est une histoire vraie, un fait divers du Valaisan, racontée dans un beau roman porté par la plume ample et généreuse de Alexandre Duyck. Une histoire triste mais belle.
Un polar des plus classiques de la part d’une auteure dont le parcours ne l’est pas du tout : anthropologue, elle a collaboré avec le TPI sur les enquêtes menées au Kosovo et au Rwanda concernant les charniers ! Une expérience marquante qui nourrit l’intrigue de ses romans et tisse leur trame.
Un récit captivant qui mêle habilement aventures maritimes, histoire coloniale, réflexion sur l’évolution des espèces, et qui questionne avec acuité notre relation au vivant et à notre environnement.
Le maître du « polar sudaf » se renouvelle avec un scénario de braquage ! Leo est le thriller le plus « cinéma » de la série avec un minutage ultra-précis, parfaitement maîtrisé par un scénariste dopé à l’adrénaline !
Avec Benoit Séverac, pas de tueur en série à la Franck Thilliez ni de poursuites survoltées à la Olivier Norek. On est plus proche de la veine très « sociologique » des polars nordiques.