
Sylvie Dazy – L’Embâcle : autopsie d’une ville de province
Pour son deuxième roman, Sylvie Dazy nous plonge dans une banale ville de province pour évoquer l’urbanisme destructeur et les problèmes d’écologie.
Pour son deuxième roman, Sylvie Dazy nous plonge dans une banale ville de province pour évoquer l’urbanisme destructeur et les problèmes d’écologie.
A travers les tribulations de quelques familles, Chi Zijian raconte l’histoire d’un village chinois situé dans la montagne, à la frontière avec la Sibérie, durant la seconde moitié du XX° siècle. Une grande fresques campagnard qui ne manque pas de relief.
Zam raconte sa vie de danseur, chanteur, chorégraphe homosexuel camerounais qui s’est réfugié en Belgique où, grâce au bouddhisme, il a pu assumer ses penchants […]
Avec son deuxième roman, l’auteure KIM Yu-kyeong nous plonge dans les camps d’internement nord-coréens mais aussi dans les tréfonds de l’âme humaine.
Hénin Liétard nous conte l’histoire d’un petit gars du coron, souffreteux, fêtard, jeanfoutre mais désireux tout de même d’avoir une vie honnête et supportable. « Fils, petit-fils de mineur, gosse du coin, chi des orteils jusqu’au bout de la langue ».
Le chanteur et romancier Kent revient avec un roman sensible et délicat en forme de réflexion sur le deuil, l’absence de l’autre, la solitude, le temps qui passe, la jeunesse qui fout le camp…
Il y a dix ans, une étoile s’éteignait dans le ciel de l’élégance, Yves Saint Laurent. A l’occasion de cet anniversaire, Bertrand Meyer-Stabley et Lynda Maache font revivre ce prince de l’ombre qui mit si bien les femmes dans la lumière.
Le dilettante publie un recueil de trois nouvelles signées Jean Dutour fustigeant ceux qui croient trop facilement les idéologies et croyances préfabriquées.
La dessinatrice Coréenne Lee Mekyeoung propose un magnifique livre illustré témoin d’un autre temps, un temps où la vitesse et la précipitation n’existaient pas au Pays du matin calme.
Wenshui, une petite chinoise à la rue se retrouve dans un centre d’accueil où les mères-porteuses sont traitées comme des détenues. Sheng Keyi signe un texte plein de tendresse et de douceur pour évoquer des choses très dures.