Le Dilettante publie les premiers carnets d’André Blanchard qui étaient, jusqu’à ce jour, restés dans ses tiroirs. il y fait déjà preuve des qualités littéraires et du bon sens critique que nous lui connaissons depuis la publication des précédents carnets.
Yves Budin retrace la carrière fulgurante et tragique de Basqiat dans une BD coup de poing, comme l’expression d’une douleur, d’une souffrance…
Un auteur de BD doit brusquement faire face à son passé avec une mère qui essaie l’entraîner dans la secte où elle se trouve. L’accident de sa mère et la naissance de son enfant vont l’obliger à faire des choix.
Henriette garde le chien de ses amis qui est toujours fourré dans ses jupes… des souvenirs d’adolescente remontent à la surface, des souvenirs d’éveil à la sexualité. Un livre qui dit des choses pas très morales avec une belle élégance littéraire.
Philippe Remy-Wilkin revisite le roman à énigmes avec une enquête qui mêle histoire, occultisme, ésotérisme, légendes et traditions, sans jamais se perdre dans les dédales de l’imaginaire.
Derrière l’humour noir et la fable absurde, ce nouveau roman bien singulier de Laurent Graff pointe une critique à peine voilée des dérives de notre société.
Avec ce nouveau roman, la romancière Sud-Coréenne Gong Ji-yong évoque avec douceur et humanisme son enfance et son pays à travers le portrait d’une gamine aux cotés de laquelle elle a grandi.
Après « La petite gamberge », Le Dilettante réédite un autre livre de Robert Giraud où il raconte la cloche et les petits boulots, trempant sa plume dans le carbure servi au comptoir.
Durant une campagne électorale, le Maire d’une petite ville décide de dire la vérité sur son passé trouble. Une plongée dans les années de l’après-guerre, un texte sur la culpabilité, le pardon et surtout la vérité.
Un plaidoyer contre les violences faites aux animaux. Une très belle écriture pour faire passer des tableaux peu ragoûtants.