Violens -True
Voici revenir les Américains de Violens, pour un second album appelé True qui affine le trait du groupe tout en enfonçant le clou de leur méthode musicale.
Voici revenir les Américains de Violens, pour un second album appelé True qui affine le trait du groupe tout en enfonçant le clou de leur méthode musicale.
Mark Lanegan a la voix eraillée de ceux qui commettent trop d excès. Ou en ont trop connu. Il pousse un petit blues funéraire, de haute volée, où chacun des éléments semble maîtrisé.
Voici donc venir la collection printemps-été 2012 de Liars aka Angus Andrew, Aaron Hemphill et Julian Gross. Un mur de son mélange de rock industriel et de psychédelisme dans lequel il m à fallu un peu de temps pour rentrer, d’abord, puis apprécier un album long en bouche.
Jusqu’ici Django Django n’évoquait pour moi en EP qu’une émanation supplémentaire de cette vague Acid pop dont MGMT est à ce jour le rejeton le plus mediatique.
en 2010, après 6 albums dont au moins 4 indispensables à toute bonne discothèque brit punk rock, le trio (quatuor de scène) Supergrass jetait le gant.
Celui là , vous ne le savez pas, mais vous l’avez attendu depuis longtemps. Zita Swoon Group nous a fait l’honneur d’un sababu live. Et nous on a aimé ça.
Carlens part en Afrique à la découverte de la culture mandingue du Burkina Fasso dans un travail de découverte qui n est pas sans rappeler le projet Mali Music de Damon Albarn.
J avais 18 ans par là quand est paru le premier opus de Dionysos. Je me souviens alors comment la bande avec son énergie presque grunge détonnait dans un paysage français où émergeait alors Miossec, Dominique A, Fersen et les autres qui ne s appelaient pas encore nouvelle chanson française.
On est le pur produit des lieux où l on habite. Dominique A l évoque dans un long article du Magic RPM du mois d avril. J ai envie de filer la métaphore pour Vers les lueurs, curieux mélange de souvenirs de jeunesse, d amours-haine en demi teinte, d écologie anti moderniste et d avancée en pack vers l en but pop adverse.
Contrairement à une brouette de critiques musicaux, je ne goûtais pas plus que de raison aux premiers essais solos et brutistes de Graham Coxon, en marge de Blur -que je revère- ou après son éviction momentanée du quatuor de l’Essex.