Soko – I thought i was an alien
Soko est Stéphanie Sokolinski à la ville. Et je ne sais pas pourquoi, depuis qu’on voit son minoi sur les plateaux télé à l’occasion de la sortie de I thought I was an alien, je pense à Vincent Gallo.
Soko est Stéphanie Sokolinski à la ville. Et je ne sais pas pourquoi, depuis qu’on voit son minoi sur les plateaux télé à l’occasion de la sortie de I thought I was an alien, je pense à Vincent Gallo.
il y a des artistes qui ont tant marqué mes jeunes années d’éducation musicale qu’ils peuvent sortir à peu près n’importe quoi aujourd’hui, je sais qu’abandonnant toute objectivité au vestiaire de mes illusions je suis conditionné à leur pardonner. Sonic Youth en fait partie.
enregistrer le groupe auteur de ce que je pense être l’album de l’année 2011 dans un lieu d’exception, en live et rien que pour nous… Bon ok et pour vous aussi ;-) c’est pas beau la vie?
il y a des albums qu il vaut mieux laisser passer, quand on se pique de critique impartiale, au moment de leur sortie. Le nouveau Black Keys est de ce tonneau. Ainsi il fut du Hanni el Khatib fin du second semestre 2011.
Si je voulais jouer ma langue de vipère habituelle, je pointerais cette nouvelle manie de l indé française qui consiste à camoufler son nouvel album sous la forme d une musique originale de film.
C était le cas, il y a quelques semaines avec Benjamin Biolay, c est désormais le cas d Emilie Simon avec Franky Knight conçu comme la BO du film « La délicatesse ».
Il y a quelques semaines maintenant, en compagnie de Claude l’infatigable réalisateur de nos modules à l’arrache, nous partions à la découverte d’Imany. L’occasion de nous complaire dans une formule double. Le live et l’interview / live, avec une artiste dont la voix envoûte.
Album après album, la tout en boucle Annie Clark nous régale. Elle donne suite via Strange Mercy à Actor, album filmique s il en était, qui a permis à une série de gens, dont moi, d accéder à son travail ; puisque le premier opus de celle qui officia un jour au sein des Polyphonic Spree n avait pas quant à lui touché mes oreilles.
Il y a quelques artistes comme ça, dont la musique avant d’ être une musique d’album émanant d’un genre musical particulier, est avant tout une invitation au voyage moderne. Beirut est de ceux là .
Pour moi, Jean-Louis Murat c est le copain de Charles Ingalls dans la série de notre jeunesse. Le monsieur bourru qui vit un peu seul à l écart caché dans sa barbe et sa solitude. Sauf que… Sauf que Murat n habite pas Walnut Grove, mais Haut Arverne, que le bonhomme ne porte pas la barbe, et qu à priori il vit dans la douce chaleur des siens. Reste le côté bourru.
Fort d’un single paru juste avant l été par une maison de disque bien au fait des recettes estivales, l album des Californiens Foster the people est à l exact point de rencontre entre la surf musique et la modernité technologique.