[Canal+] Rogue Heroes : « Foncer, tuer, revenir » sur un air d’AC/DC
Le showrunner de Peaky Blinders délaisse l’atmosphère des années 30 pour l’enfer de Tobrouk en 1941/42. Mais le passage de la fiction à la relation de faits réels ne constitue-t-elle pas une marche trop haute à franchir pour conserver à la fois la signature esthétique et le spectateur en haleine ?