Avec « Disparitions », Personne n’est pas venu pour rien.
Avec une efficacité mélodique évidente, un son à la fois référencé et très maîtrisé, le Canadien offre un second album solo où la guitare tutoie la voix de quelque mâne évanescent.
Avec une efficacité mélodique évidente, un son à la fois référencé et très maîtrisé, le Canadien offre un second album solo où la guitare tutoie la voix de quelque mâne évanescent.
Aidan Knight fait partie de ces songwriters dont l’atmosphère générale peut s’apparenter à une formule : mélange de racines folk, facilité pop, et ambiances vaporeuses.Tous n’ont pas, et c’est bien dommage, l’efficacité soyeuse du Canadien.
Reprenant les ingrédients qui ont fait la signature de sa formation d’origine, Victor Le Masne se rappelle à notre bon souvenir pour signaler qu’il n’est pas que producteur et arrangeur pour les nouveaux rejetons de la scène francophone.
Le dessinateur Olivier Spinewine, belge et poète de l’évocation, revient avec un objet-livre « questionnant » comme le sont tous les projets dudit dessinateur depuis l’Université Libre de Bruxelles où nous nous sommes rencontrés.
Entre témoignage et littérature, l’auteure belge Myriam Leroy conte le récit singulier de la descente aux enfers d’une journaliste aux prises avec un harceleur numérique.
Retour du Canadien de Gentilly après le déjà fameux Homemade lemonade sorti en 2018. Le temps passe, l’amour des Etats-Unis reste, pour un nouvel album une fois encore ultra-référencé.
Baden Baden revient explorer la noirceur, sa nuit intérieure et les nuits dans un album sombre, passionnant, gageure pour un critique : raconter le ressenti diffus qui survient à chaque écoute, mais globalement inénarrable.
J’ai un penchant pour le personnage Liam Gallagher et pour son attitude de connard arrogant du rock. Parce qu’il me semble que, affublé d’une voix idoine, c’est un parfait résumé de ce que doit être le rock britannique : de bonnes mélodies, un son, une attitude, et un chant qui envoie du petit bois.
Qu’une série mette Jim Carrey au générique et tu as, lecteur, des images d’un trublion sautillant en totale roue libre façon Saturday night live. La production le sait. Et se joue de tes attentes dans la série sans doute la plus folle du moment.
This is not a safe place sonne comme le premier album d’un groupe frais émoulu, comme une réflexion globale en 12 titres refusant de choisir entre bruitisme et ballade psychédélique. Ride signe un vrai album de Ride.