Sweet Unknown, le quatrième album des inconnus Ceramic Animal est une improbable merveille de chansons au songwriting classique parfait, où le soft rock seventies US rencontre de multiples autres formes musicales.
Nous étions impatients de découvrir sur scène les titres du fabuleux dernier album de Emily Jane White, Alluvion, et elle ne nous a pas déçus, hier soir à la Boule Noire…
Très attendus quatre mois après leur passage remarqué au Festival Arte, les Londoniens de shame nous offert hier soir un set uniforme, sans grand éclat, et décevant par rapport à leur statut de dauphins du post-punk britannique.
Isolée un bon moment du monde du fait de la pandémie, la Nouvelle Zélande est un pays suffisamment ouvert pour que ses groupes aient continuer à respirer et trouver l’inspiration. Le nouvel album de Mild Orange en témoigne !
Et une troisième saison irrégulière – particulièrement en son milieu – pour Snowpiercer, qui se rattrape heureusement avec un épisode final particulièrement réussi. Tout le monde à bord, attention au départ !
Sixième album de Get Well Soon, AMEN est un disque de foi en l’avenir, qu’il sera facile d’aimer en dépit de tendances à l’emphase et à l’accumulation de considérations plus ou moins profondes sur la vie.
La tournée Charmed Life passait hier soir par le Grand Rex, et Neil Hannon nous a offert un abondant bouquet de 23 de ses chansons les plus connues, lors d’un concert plus irrégulier que de coutume.
On est évidemment ravis de retrouver le jeune Hyacinthe dans un nouveau et grave pétrin, mais notre plaisir devant ces aventures épiques sera coloré par un vague regret : Survivre Aujourd’hui a tout d’un Donjon Zénith !
Sa parution en format poche est la parfaite occasion de lire ou de relire le Code de Katharina, polar impeccablement écrit et construit, mais sortant également des sentiers battus, de l’orfèvre du genre, Jørn Lier Horst.
Remake honorable de la Famille Bélier, CODA souffre des mêmes défauts mais a quelques qualités supplémentaires. De là à mériter l’Oscar du Meilleur Film…