Natalia M. King – Woman Mind of My Own : loin des yeux, près du cœur…
Loin des Etats Unis, mais si proche de leur cœur « blues », Natalia M. King nous offre avec son Woman Mind Of My Own un voyage exaltant à travers la musique noire américaine.
Loin des Etats Unis, mais si proche de leur cœur « blues », Natalia M. King nous offre avec son Woman Mind Of My Own un voyage exaltant à travers la musique noire américaine.
L’histoire des Etats-Unis est riche de personnages issus des « minorités » qui n’ont pas encore eu l’honneur d’être célébrés, et ce n’est pas la moindre qualité de Queenie que d’attirer notre attention sur Stéphane St Clair, immigrée à la tête de la pègre de Harlem…
On aimerait écrire que « Imaginos 2 » est un chef d’œuvre, mais il souffre de trop d’imperfections pour ça. Reste qu’il est défendable de le considérer comme une autre pièce majeure de la discographie de ce groupe imaginaire qu’est le Blue Öyster Cult d’Albert Bouchard.
Nombreux sont les gens de goût qui considèrent SUUNS comme l’une des meilleures choses qui soient arrivées au Rock au XXIe siècle. Issus de la prolifique scène de Montréal, ces expérimentateurs forcenés ont réussi à mélanger krautrock, électronique et esprit punk comme peu d’autres groupes l’avaient fait avant eux…
Sa rencontre avec le légendaire batteur Tony Allen, peu de temps avant sa disparition, a amené le nouvel album de Joan Wasser (Joan as Police Woman) dans des territoires inédits pour elle. Nous avons rencontré Joan à l’occasion de son passage par Paris pour le Festival Arte.
Après un nouvel album acclamé, 9 songs about love, voilà enfin l’un des espoir du folk indie US, J.E. Sunde sur une scène parisienne, pour une soirée à la fois intimiste et… rock’n’roll…
Une seconde soirée du Festival Arte bien différente de la première : l’intensité punk de la veille a laissé place à la coolitude, à l’introspection, et à l’émotion aussi, d’un Damon Albarn très proche de son public de fans ennamouré(e)s.
Lors du premier des 3 jours du Festival Arte à la Gaîté Lyrique, on a pu découvrir le grim punk prometteur du duo infernal Nova Twins, et avoir la confirmation, après deux ans d’absence des scènes françaises, du talent de shame, postulant au podium de meilleur groupe post-punk anglais.
On rit beaucoup en lisant « En coulisse », chronique souvent improvisée des coulisses de festivals. On est aussi interloqué de ce qu’on y apprend sur nos idoles, ce qui nous fait rire encore plus. Mais on est aussi souvent séduit par la remarquable intelligence du propos de Wazem…
Juste quand on était en droit de se dire « Parquet Courts, c’est super, mais c’est toujours un peu pareil », voilà que le groupe fait sa métamorphose, abandonne le cynisme branché et va s’ouvrir aux autres sur le dance floor, avec un mot d’ordre simple : « profitons de la vie ! ».