Le cinquième et dernier film de la série Rurōni Kenshin adaptée d’un célèbre manga est une petite réussite, malgré quelques limitations, et son statut de « prequel » de l’histoire en fait une introduction parfaite à l’univers des 5 films de Keishi Ōtomo.
S’il n’y a « pas de seconde chance pour un héros américain », comme le veut le proverbe, peut-être y en a-t-il une pour les superstars belges ? Le Dernier Mercenaire est un film plutôt raté, mais nous laisse croire à un futur dans le cinéma comique pour Jean-Claude Vandamme. Ce n’est déjà pas si mal.
Après une année 2020 sans album « officiel » de Ty Segall, « Harmonizer » sort par surprise et nous offre un témoignage très réussi de son évolution formelle vers un Rock plus électronique.
Il en faut de la maladresse et du manque de talent pour gâcher nos moments de lecture « facile » au soleil : c’est pourtant ce que Bouzounie réussit à faire avec son Au Bout de la Nuit en accumulant à peu près toutes les tares possibles. Revue de détail…
Oui, on aime beaucoup ici la série sud-coréenne Kingdom, bien plus ambitieuse que (et bien supérieure à) The Walking Dead quand il s’agit de dépeindre une invasion zombie à grande échelle. Et ce n’est pas le film / épisode spécial Ashin of the North, très convaincant, qui va nous faire changer d’avis…
Exil, la BD de Fabuel et Minguez, nous rappelle opportunément que nous sommes nombreux à descendre de ces hommes et ces femmes courageux qui ont dû fuir, malgré eux, leur pays déchiré par la guerre.
Trop, c’est parfois trop : voilà un concept qui clairement n’effleure pas l’esprit d’Álex Pina et de son équipe : la suite de Sky Rojo, c’est la même chose en plus… violent, excessif, hystérique… et improbable.
Quand le monde s’obstine à vous envoyer de mauvaises nouvelles et que le temps s’obstine à être froid et gris, un bon antidote ce jeudi était de passer la soirée avec le Power Pop de Alvilda et le rockabilly moderne des formidables Howlin’ Jaws : banane assurée !
Le 10 juillet, Cheap Teen remportait un Tremplin Rock & Folk Radio particulièrement disputé. Cette victoire représente, une nouvelle étape dans la trajectoire d’un groupe décidément beaucoup plus ambitieux et original que leur nom ne le laisse penser a priori.
The Sparks Brothers, documentaire fleuve d’Edgar Wright, est un immense moment de bonheur pour les fans des Frères Mael, baigné qu’il est par l’amour que leur porte le réalisateur et les différents intervenants.