Gros choc totalement inattendu en plein mois d’août, The Sublime Sculpture of Being Alive est le genre d’OVNI qui nous redonne espoir en l’avenir d’un Rock un peu léthargique en ce moment. Retenez ce nom (pas facile…) : Media Jeweler !
Bien plus intéressante que ce que l’on aurait imaginé, la série polonaise Sexify travaille plusieurs sujets pertinents quant à la libération de la sexualité dans la société polonaise, derrière des stéréotypes un peu faciles.
Peut-on réellement partir, et faire table rase de son passé, surtout lorsqu’il a été marqué par une stricte éducation islamique dans un pays autoritaire ? Le passionnant livre de Shaghayegh Moazzami, adresse intelligemment la question ce qu’est réellement la « liberté ».
A part les fans de Liars, qui attendait en 2021 un album comme ce The Apple Drop ? Plus accessible, mais toujours aussi impressionnante, cette musique nous interroge autant sur notre futur collectif que sur notre état mental.
Les BDs sur les violences sexuelles envers les enfants sont suffisamment rares pour que nul ne passe à côté de Grand Silence, œuvre considérable qui nous demande d’écouter enfin les voix que l’on a toujours fait taire. Et d’agir…
Sans sortir le moins du monde son style habituel et de ses thèmes de prédilection, Indriðason nous a offert avec Les Fantômes de Reykjavik un bel exemple de son talent à manier les mots, à créer des personnages et imbriquer des énigmes.
Le cinquième et dernier film de la série Rurōni Kenshin adaptée d’un célèbre manga est une petite réussite, malgré quelques limitations, et son statut de « prequel » de l’histoire en fait une introduction parfaite à l’univers des 5 films de Keishi Ōtomo.
S’il n’y a « pas de seconde chance pour un héros américain », comme le veut le proverbe, peut-être y en a-t-il une pour les superstars belges ? Le Dernier Mercenaire est un film plutôt raté, mais nous laisse croire à un futur dans le cinéma comique pour Jean-Claude Vandamme. Ce n’est déjà pas si mal.
Après une année 2020 sans album « officiel » de Ty Segall, « Harmonizer » sort par surprise et nous offre un témoignage très réussi de son évolution formelle vers un Rock plus électronique.
Il en faut de la maladresse et du manque de talent pour gâcher nos moments de lecture « facile » au soleil : c’est pourtant ce que Bouzounie réussit à faire avec son Au Bout de la Nuit en accumulant à peu près toutes les tares possibles. Revue de détail…