Alors que nous nous plaignons d’une usure de la Série TV, où l’on ne trouve plus guère de grandes œuvres emblématiques et fédératrices, il reste heureusement de belles surprises, comme un Squid Game, qui prouve que, comme au Cinéma, la Corée du Sud est un pays qui compte désormais.
Retardé, le retour de Têtes Raides, pour le 30e anniversaire de Ginette, s’est avéré explosif. Alors qu’un nouvel album studio doit sortir avant la fin du mois, nous avons demandé à Christian Olivier de nous donner des nouvelles du groupe et de ses projets personnels…
Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de se réjouir d’un film fantastique bien interprété, réalisé avec soin et basé sur un scénario aussi original que passionnant : la Proie d’une Ombre n’est malheureusement pas un chef d’œuvre, mais c’est toutefois un beau film.
Le rêve a toujours été de regarder un film d’action efficace sans mettre pour autant notre cerveau en veilleuse, et on attend toujours le nouveau John McTiernan. Et ce ne sera pas Joe Carnahan dont le Boss Level, astucieux sur le papier, ne dépasse pas le stade du plaisir régressif.
Concert de lancement (retardé) de A Deep Sense of Happiness, le dernier album de Popincourt, qui nous a confirmé – si c’était encore nécessaire, – le niveau de classe de ce musicien français pas encore assez reconnu.
Excellente surprise malgré un résultat final pas totalement convaincant, Post Mortem : Personne ne meurt à Skarnes est la série norvégienne du moment, traçant un chemin original entre vampires, Six Feet Under et Fargo.
Les Liégeois furieux de It It Anita ont prouvé mercredi soir au Point Ephémère qu’ils n’avaient guère d’équivalent actuellement quand il s’agissait de faire passer un véritable rouleau compresseur sonique sur leur public en transe.
The Limiñanas nous ont offert hier soir dans l’écrin du Studio 104 de la Maison de la Radio des extraits de leur nouvel album, De Película, co-composé avec Laurent Garnier : boucles obsessionnelles et transe garanties !
Oui, les séries TV, phénomène global et indicateur-clé de la culture contemporaine, nous parlent des Etats-Unis, de leurs croyances, de leurs illusions et de leurs certitudes mieux que n’importe quelle étude sociologique. Apocalypse Show lance ainsi quelques pistes qui valent la peine d’être explorées.
Le 18e album de The Stranglers, risque d’être leur dernier du fait de la disparition de Dave Greenfield. Profitons donc tant que nous le pouvons de ces chansons souvent superbes, où le groupe n’hésite pas à explorer de nouveaux territoires.