[Live Report] Rock en Seine – Jour 2 : Frank et Beth !
En cette seconde journée de Rock en Seine où la jeunesse s’excitait devant Måneskin, ce sont Frank Carter et Beth Ditto qui nous ont apporté le plus de bonheur. Qu’ils en soient remerciés !
En cette seconde journée de Rock en Seine où la jeunesse s’excitait devant Måneskin, ce sont Frank Carter et Beth Ditto qui nous ont apporté le plus de bonheur. Qu’ils en soient remerciés !
Chroniques du Grand Domaine, en dépit de son aspect inachevé et brouillon – ou peut-être grâce à ça – est un livre bouleversant, et essentiel en notre époque d’intolérance et d’oubli. En partant à la recherche de l’histoire de l’immeuble qu’elle habite, Lili Sohn fait œuvre de salut public.
Grosse ouverture cette année de Rock en Seine, avec l’unique date prévue en France de Lana Del Rey. La journée affichait – logiquement – complet, mais nul n’a été déçu du concert de l’idole absolue, iconique qui plus est, qu’est devenue Lana.
En 2011, nous dansions en chantant à tue tête sur Pumped Up Kicks, l’immense tube de Foster The People. Depuis, on s’est désintéressé de ces « one hit wonders ». Mark Foster peut-il changer la donne avec son 4ème album, Paradise State of Mind ?
Il est facile de résumer la seconde saison de House of the Dragon : la même chose que la première. Soit : des dragons, on s’enflamme, des parlottes, on s’ennuie vaguement. Bref, une série qui se cherche toujours et ne s’est pas encore trouvée.
L’été, période propice aux rattrapages, et en particulier des albums à côté desquels nous étions passés. Aujourd’hui, This Could Be Texas, le premier album de English Teacher, le premier album d’un groupe qui nous avait ravis sur scène, et que, stupidement, nous n’avions pas écouté à sa sortie, en avril dernier !
Charmant « murder mystery » pour young adults, Meutre mode d’emploi a longtemps des allures de resucée des livres d’Enid Blyton, jusqu’à ce qu’une certaine noirceur envahisse la série.
La mélancolie est un film formellement remarquable qui s’avère quand même peu passionnant. Et qui pose un véritable problème à tout amateur du cinéma nippon.
Enorme claque hier soir au Supersonic, avec les magnifiques forcenés d’Avalanche Party, qui ont transformé une nuit du 15 août indolente en brasier. Un futur grand groupe, sans hésitation. Non, déjà un grand groupe !
Bouclée en 6 épisodes seulement, la conclusion de l’ambitieuse série Umbrella Academy prend acte, sans regrets, mais avec beaucoup de négligence, de l’échec du projet. De ses personnages comme de ses producteurs.