[Live Report???] Les Corona Couch Concerts : Elliott Murphy is alive and well in Paris !
Vous avez manqué les 54 sessions données pendant le confinement par Elliott Murphy depuis chez lui ? Ce petit problème a une solution !
Vous avez manqué les 54 sessions données pendant le confinement par Elliott Murphy depuis chez lui ? Ce petit problème a une solution !
Entre 24 Heures Chrono et John le Carré, Homeland a peiné à trouver le juste équilibre et ne restera pas dans les mémoires comme une « grande série », même si cette conclusion est honorable…
L’Argentine est certainement le pays d’Amérique Latine où le cinéma est le moins assujetti aux codes du spectacle hollywoodien, et Intuition, malgré ses limites de production Netflix standardisée, est un exemple de « polar classique » basé sur une intrigue riche mais crédible.
Laisseriez-vous votre fille épouser Kanye West ? A cette question rituelle depuis l’apparition de stars scandaleuses au début des années 60, le livre d’Adrien Durand, Kanye West ou la Créativité Dévorante (Playlist Society) apporte quelques éléments de réponse… encore insuffisants !
Un petit coup de déprime en ces temps difficiles ? Heureusement, notre ami anglais Tim Burgess est là pour nous rappeler les joies de l’optimisme et les effets bienfaiteurs de la pop classique !
Étonnant désastre que Run, une série pourtant produite par Phoebe Waller-Bridge, qui échoue à transposer les mécanismes de Fleabag dans l’environnement américain.
Vous rappelez-vous comment nous dansions et faisions la fête, fous et insouciants, au soleil d’Ibiza ou sous la pluie de Manchester ? White Lines évoque notre jeunesse radieuse, mais aussi les cicatrices douloureuses qui nous restent, et frôle par instants l’excellence…
Nous avons été impressionnés – comme tout le monde, cette série ayant été récompensée à Angoulème – par les adaptations d’œuvres de Lovecraft par le mangaka Gou Tanabe : il nous fallait donc revenir sur son quatrième tome, La Couleur tombée du ciel.
Après un démarrage peu engageant, Upload est une série qui fait des étincelles, et nous devient de plus en plus chère : on oublie même la SF façon Black Mirror pour se délecter des mécanismes éternels de la comédie hollywoodienne.
Finement composé, magnifiquement produit, constamment habité, The Big Wind positionne Luke Elliot dans le peloton de tête des auteurs-compositeurs à suivre dans les années qui viennent.