[Netflix] Wounds de Babak Anvari : horreur mentale et cafard(s)…
Après Under the Shadow, film singulier à la bonne réputation, Babak Anvari confirme ses ambitions dans « l’horreur mentale » mais peine à nous embarquer dans sa nouvelle oeuvre…
Après Under the Shadow, film singulier à la bonne réputation, Babak Anvari confirme ses ambitions dans « l’horreur mentale » mais peine à nous embarquer dans sa nouvelle oeuvre…
Adam Green, égal à lui-même mais porté par un public amoureux et enthousiaste, a véritablement créé une atmosphère de liesse à la Gaîté Lyrique vendredi soir…
The Struts, petit chouchou d’un public parisien en mal de glam rock et nostalgique de Freddy Mercury, a conquis jeudi soir un Trianon littéralement extatique…
La troisième saison de Sneaky Pete, la relativement discrète mais très belle série Amazon, nous a offert une conclusion finalement assez inattendue et riche en émotions.
Un premier album excitant et des concerts énergiques ont placé Starcrawler très haut sur la liste « espoirs du rock » 2019. Voici venu le difficile temps de la confirmation, et Devour You n’échappe pas totalement à la fameuse « malédiction du second album ».
Le retour de nos héros absolus, Pixies, armés cette fois d’un album qui s’approche des niveaux d’excellence de leur première vie. De quoi, après leur remarquable passage au Zénith en novembre 2016, attendre ce set avec confiance…
La sortie de son nouvel album, Ricochet, composé d’anciens titres ou d’inédits est l’occasion de rencontrer Elliott Muphy, l’un des derniers « Broken Poets » détenteur d’une vision classique et romantique du Blues et du Rock’n’Roll.
Peut-on faire confiance à ce que nous a raconté de sa jeunesse notre propre grand-père ? Que lire vraiment derrière les images « officielles » des jeunesses hitlériennes ? Serena Katt se penche sur le passé de sa propre famille dans Cher Opa.
Sur la trame désormais bien usée de la « disparition familiale », Brad Anderson construit avec Fractured une belle atmosphère avant de perdre en route le contrôle de son film. Encore une (relative) déception sur Netflix !
Oui, King Gizzard & the Lizard Wizard ont évolué depuis leurs cinq albums de 2017 : moins krautrock et garage, un peu moins prog rock, ils restent irrésistibles avec leur boogie multicolore.