Engine of Paradise : Adam Green contre les insectes-robots
Le très court Engine of Paradise marque le retour d’Adam Green en crooner : plus mûr, mais toujours aussi décalé et délicieux. Un disque au charme fou.
Le très court Engine of Paradise marque le retour d’Adam Green en crooner : plus mûr, mais toujours aussi décalé et délicieux. Un disque au charme fou.
De retour à Manhattan sur une partition qu’il maîtrise parfaitement depuis toutes ces années, le vieux maestro nous fait oublier pendant une heure trente toute la polémique qui fait rage autour de lui.
Passionnante auto-biographie d’un jeune expatrié, Bienvenue en Chine nous fait partager son aventure professionnelle, mais reste sans doute un peu trop timide sur le versant sentimental et émotionnel.
Le bruit courait du côté de Rouen quant à l’excellence de MNNQNS, nouvelle expression locale urgente et mélodique du Post Punk. Leur premier album, Body Negative, ne déçoit pas.
La saison 2 du brillant et cérébral Mindhunter semble avoir déçu pas mal de téléspectateurs… A juste titre ?
Norman Fucking Rockwell marque le retour aussi inespéré qu’inattendu de Lana del Rey au sommet, et fonctionne surtout grâce à des textes incandescents et « près de l’os », qui la distingue des autres artistes pop américaines.
The Leisure Society, dix ans après Sleeper, sont revenus avec Arrivals & Departures, superbe opus qu’ils peinent néanmoins à défendre sur scène…
Livre superbe sur la mort mystérieuse d’un génie de la peinture canadienne, mais aussi sur une nature sauvage splendide, Tom Thompson est tout simplement une expérience esthétique et narrative remarquable.
En 2019, Marie Ulven et son girl in red racontent frontalement les difficultés de trouver sa place lorsque l’on est une jeune femme homosexuelle, et signe avec son Ep Chapter 2 un disque de bedroom pop parfait.
Dix ans après le triomphe artistique de Entre les Murs, Grand Corps Malade et Mehdi Idir tentent avec la Vie Scolaire un nouveau bilan des difficultés de l’éducation dans les quartiers difficiles…