Arrivals & Departures : La mélancolie pop lumineuse de The Leisure Society
Le coup du cœur brisé, ça marche à chaque fois : Nick Hemming nous revient enfin au meilleur de sa forme avec le Arrivals & Departures de son Leisure Society.
Le coup du cœur brisé, ça marche à chaque fois : Nick Hemming nous revient enfin au meilleur de sa forme avec le Arrivals & Departures de son Leisure Society.
Et si Michael Jackson avait été remplacé par une saucisse, est-ce que Thriller aurait eu moins de succès ? Et si Donald Trump était en fait une chipolata ? Voilà deux des nombreuses questions essentielles que pose El Chipo, satire hilarante de Witko.
Alors que tous les biopics finissent par se ressembler dans leur trajectoire et leur morale, la première partie de The Dirt, qui raconte l’épopée sordide et pourtant glorieuse de Motley Crüe, laisse un temps espérer un vrai film Rock’n’Roll…
Les grands livres de la littérature française ont plusieurs vies, et le projet de Bouilhac et Catel est d’adapter le passionnant La Princesse de Clèves dans un format BD qui le rende sans doute plus attrayant aux nouvelles générations : pari audacieux mais réussi !
La Boule Noire a été prise d’assaut par les fantastiques fans d’une jeune Norvégienne à peu près encore inconnue, qui chante sa vie amoureuse « gay » avec une honnêteté et une sincérité confondantes. Mais sur scène, girl in red, c’est surtout du rock qui remue, et c’est tant mieux.
Il est des films que l’on va voir – et que l’on aime – pour leurs acteurs : pourquoi donc se priver du plaisir d’un Ricardo Darin impérial sous prétexte que Retour de Flamme n’est pas réalisé par Bergman ou Woody Allen ?
Fausse comédie et vrai labyrinthe psychanalytique, Poupée Russe s’avère plutôt une bonne surprise pourvu qu’on ait envie de se prendre au jeu après un démarrage laborieux…
Faute de n’avoir pas pu assister à son concert sold out la veille à la Maro, il fallait faire le déplacement jusqu’à Orléans pour pouvoir célébrer la voix sublime de Natalie Mering à l’Astrolabe…
Le quatrième album de Local Natives, “Violet Street” vient juste de sortir, et le Point Ephémère affichait complet hier soir pour le retour à Paris d’un groupe qui s’est un peu assagi.
Presqu’un an et demi s’est écoulé depuis le dernier album des stakhanovistes fous de King Gizzard & The Lizard Wizard. Le nouvel album, Fishing for Fishies, poursuit la folle trajectoire expérimentale du groupe, en s’attaquant cette fois au… boogie !