[Live report] Le grand-guignol de Ghost au Zénith
Jeudi 7 février 2019, au Zénith, un Ghost toujours aussi spectaculaire a offert au public parisien plus de deux heures et demi de « classic rock » généreux et inspiré.
Jeudi 7 février 2019, au Zénith, un Ghost toujours aussi spectaculaire a offert au public parisien plus de deux heures et demi de « classic rock » généreux et inspiré.
Réalisant son premier film ouvertement commercial, Yorgos Lanthimos confirme malheureusement ses tendances à l’esbrouffe et à la prétention. Reste un trio d’actrices en état de grâce qui justifient qu’on voit La Favorite.
C’était la Guerre des Tranchées. Après Tardi, Pécherot et Pinelli s’attelle avec cet impitoyable adaptation du livre de Henri Barbusse qu’est Das Feuer à un indispensable travail de mémoire.
Drôle de bouquin que cette tentative osée de nous faire rire et peur à la fois, de la part de Dédo, un humoriste qui s’aventure ici dans la BD. On n’aime pas complètement le résultat, mais on est séduit par l’audace !
Quatrième album pour nos amis Belges de Balthazar, et quatrième réussite avec des compositions à la fois discrètes et toute en retenue qui offrent à plusieurs reprises un sentiment d’épanchement sentimental irrépressible. Laisser la fièvre vous envahir !
Razorlight a investi la scène du Bataclan ce 2 février 2019 pour un set généreux, et même exceptionnel par moment, prouvant que la nouvelle formule de groupe fonctionne à merveille.
Anna Calvi était à la Cartonnerie à Reims ce jeudi 31 janvier 2019 pour 13 chansons asphyxiantes, dans lesquelles le chant parfait de la diva miniature alternait avec le son chaotique de la guitare.
Etonnant retour au minimalisme bricolé pour Tim Presley, qui signe avec I Have to Feed Larry’s Hawk un superbe album plaintif et bouleversant. A ne pas mettre entre toutes les mains, néanmoins…
Peut-on être heureux en tant qu’adulte en jouant du punk rock pour un public pour le moins limité ? Voilà la question existentielle que pose le nouvel album de Mike Krol, « Power Chords ».
Surprenante réussite que ce film d’abord trop évident, et qui se joue avec légèreté et grâce des clichés qui le nourrissent : Green Book est un plaisir bien plus fin que prévu.