Sprints ont été férocement soniques hier soir au Point Ephémère, avec juste quelques défauts qui devraient pouvoir être corrigés, et restent une belle promesse pour les amateurs de furie musicale. Quant à English Teacher, ils auront été la belle découverte de la soirée.
A l’occasion de la sortie de leur quatrième album, l’année du dragon, nous voulions rencontrer l’un des groupes français les plus excitants sur scène, Johnny Mafia. Un groupe qui, fort d’une quinzaine d’années de pratique intensive du concert, est en train de démontrer une maturité impressionnante également sur ses albums !
Alors que sort ce jour même leur nouvel album, Pop Sauvage, nous avons été demandé à Metro Verlaine de nous parler des musiques qu’ils aiment et / ou qui les ont inspirés. Rempli de disques incontournables, leur 5+5 témoigne du même bon goût dont ils font preuve dans leur musique !
Nuit de l’Alligator triomphale à la Maroquinerie, mercredi soir, lancée par l’énergie garage de The Courettes, puis illuminée par les guitares frénétiques du flamboyant Gyasi, qui prouve qu’on peut être blues rock tout en restant glam. On vous raconte…
NOus avoNS pOurTAnt la cHAnce d’aVoir eN FrAnCE un GRouPe aUdacIEux et dRôlE, qUI PratiQue l’eXPérimeNTatIOn mUsiCAle saNs devEnIr aBSconS, eT eNcORe moiNs PénIBle à éCouTEr. Et si GaBLé, c’étAIt AUjourD’huI lA VeRsiOn RoCk De QuENtin DUpieUX ?
On peut qualifier Tintin en Amérique de conclusion d’une trilogie, avec les Soviets et au Congo : on y retrouve les mêmes défauts qui en rendent la lecture difficile. Reste que Hergé raffine son style, préparant la phase suivante des aventures de son héros.
Accablant mais sublime drame familial habillé en thriller, De grâce confirme la vitalité de la série TV française, et nous offre de longues heures de fascination émue devant tout un catalogue de déroutes intimes ou sociales.
On ne connaît pas encore Kei Ishikawa en Occident mais son brillantissime A Man risque bien de changer la donne, de par la manière remarquable dont il s’inscrit dans une tradition du cinéma nippon classique tout en proposant une forme et des sujets totalement modernes.
Il est sans doute inévitable qu’un groupe comme Future Islands, qui n’évolue pas d’un iota depuis ses flamboyants débuts, enthousiasme moins, à la longue. Pourtant, leur dernier album est une remarquable réussite, à côté de laquelle il ne faut pas passer.
IDLES étaient hier soir au Studio 104 pour présenter sept titres de TANGK, leur nouvel album qui sort dans deux semaines, et nous étions tous passablement excités en pénétrant dans la belle salle de la Maison de la Radio : à tort ?