On imagine bien que vous en avez assez qu’on vous répète que Gruff Rhys est un génie de la pop ravissante, et intelligente qui plus est. Mais peu importe, armés de ce magnifique Sadness Sets Me Free, on va persévérer dans cette mission de salut public qu’est la promotion de l’œuvre d’un artiste majeur.
Soirée très attendue hier à la Maro : les disciples néerlandais de Jimmy Diamond croisaient le fer avec le vétéran célébré de l’Americana, Israel Nash, devant une foule largement convaincue à l’avance par la démarche « classiquement » US de leur star…
Avec la perfection graphique qui le caractérise, mais dans un style encore plus épuré, Taniguchi nous offrait avec ce très beau Elle s’appelait Tomoji – réédité cette année – un voyage dans le passé d’une précision et d’une justesse remarquable : une expérience émotionnelle forte…
Excellente surprise que les Frères Sun, une série qui reprend intelligemment les codes du cinéma de Hong-Kong de la grande époque, sans trop les occidentaliser, et qui finit même par nous captiver…
2024 commence bien au Supersonic, avec les très prometteurs Children Of The Pope, porteurs d’une gentille folie pop / garage, et les solides Parisiens de Seesters. Le Rock agité dans tous ses états, et ça fait plaisir à voir et à entendre !
Premier échec artistique d’un réalisateur à la filmographie jusqu’ici sans tache, May December est un film mal maîtrisé qui démontre par l’absurde que trop de complexité et de subtilité peut ne déboucher que sur du vide.
On joue de l’Americana un peu partout, et même dans l’Overijissel, province néerlandaise où a vu le jour Jimmy Diamond. Le groupe publie en France, en ce début 2024, son premier album, You Radiate, déjà disponible aux Pays-Bas depuis 2023.
Gregg Araki, cinéaste d’avant-garde dans les années 90, porte-parole audacieux des minorités alors haïes par l’Amérique réactionnaire, s’est montré beaucoup trop discret ces dernières années. L’essai de Fabien Demangeot permet de remettre à sa juste place un cinéaste visionnaire et talentueux…
Depuis nos 7 ans, et espérons-le, encore bien après que nos 77 ans soient passés, nous lisons et relisons Tintin, sans aucun doute LE grand responsable de notre intérêt pour la Bande Dessinée sous toutes ses formes. Il était grand temps que nous partagions cette passion !
Après une première saison sympathique qui établissait la crédibilité d’Alan Richson dans la peau de Reacher, le (super-)héros de Lee Child, la seconde saison de la nouvelle série à succès de Prime confirme la réussite d’une formule très divertissante…