
[Apple TV+] « Constellation » : de l’autre côté du miroir ?
A partir d’une idée passionnante, Constellation se met à tourner en rond et ne débouche pas sur grand-chose de consistant, malgré des qualités indéniables.
A partir d’une idée passionnante, Constellation se met à tourner en rond et ne débouche pas sur grand-chose de consistant, malgré des qualités indéniables.
Peu commentée, et désormais reléguée sur TF1+, Poker Face est un drôle d’objet qui voit Rian Johnson faire ses gammes dans la série TV traditionnelle, celle d’avant la révolution formelle de la fin des années 90. Même si la réussite n’est pas totale, c’est une approche intéressante…
La Belgique, qui est décidément en ce moment un incubateur de grands groupes et artistes de Rock, nous a envoyé Whispering Sons pour sauver un Post-Punk bien mal à point à force de ressassement.
Le retour de Beth Ditto, cette fois sous le format de son groupe Gossip, est une bénédiction en ces temps difficiles aux USA où les voix réactionnaires montent en puissance et où bien des acquis démocratiques sont remis en question.
Seulement 3 ans après la BD de Prosperi Buri sur le Velvet Underground, voici une nouvelle approche de l’histoire du groupe séminal qui réinventa radicalement la musique entre 1966 et 1970 : précis, bien documenté, voici un biopic respectueux du mythe qui ravira les fans…
En tournée en France, les Death Valley Girls passent par Paris ce jeudi à La Station – Gare Des Mines, et nous en avons profité pour poser quelques questions à Bonnie Bloomgarden sur l’évolution du groupe et de sa musique…
C’était une fausse bonne idée de jouer Bossanova et Trompe le Monde dans leur intégralité. C’était une erreur de virer Paz Lenchantin. C’était inexcusable de faire en sorte que les amplis de Frank Black couvrent le reste du son. Le résultat, à partir de là, était tristement prévisible…
Dans un retournement inattendu mais réellement bien venu, les Frères Reid ont décidé avec ce nouvel album d’arrêter de faire le genre de musique qui les a rendus célèbres. Glasgow Eyes met l’accent plus clairement que jamais sur les mélodies pop, et remplace souvent les guitares par des synthés vintage. Et ça fonctionne !
En Attendant Ana ont confirmé hier soir, dans un Trabendo complet et enthousiaste, la pertinence et l’efficacité de leur démarche musicale désormais plus pop, plus légère qu’à leurs débuts. Et que nous tenons là un groupe essentiel de la scène française actuelle.
On attendait au tournant l’un des jeunes groupes français les plus excitants que nous ayons vus sur scène ces dernières années. Leur premier album, Don’t Be Boring, est la confirmation que nous attentions : maximum rock’n’roll !