« Hazel » de Sarah Koskievic : love will tear us apart…
S’ouvrant et se refermant au son du Sympathy For The Devil des Stones, la brûlante histoire d’amour et d’autodestruction de Hazel enchantera ceux qui aiment les plumes modernes et acérées, mais pourra irriter par sa description d’un milieu parisien branché et aisé.