Disparu voilà presque un demi-siècle, Chrome Dreams, le grand album perdu de Neil Young, sort enfin officiellement. Suivant qu’on est un connaisseur de l’œuvre complète du Loner ou un néophyte, on portera forcément un jugement différent sur cette parution vraiment tardive…
Refaire Quand Harry rencontre Sally en 2023 n’est pas une idée vraiment intéressante, surtout parce que Platonic manque trop d’imagination et de folie pour nous intéresser vraiment, et reste une série très ordinaire.
Au cœur du conflit israélo-palestinien, une famille « juive arabe » vers laquelle retourne l’auteur, Asaf Hanuka : en se réacclimatant à la vie en Israël, Asaf va essayer de comprendre un épisode trouble de l’histoire de sa famille…
Récit « en temps réel » d’un détournement d’avion par un commando aux objectifs obscurs, Hijack aurait dû être bien meilleur qu’il ne l’est. Reste un divertissement honnête, et, bien entendu, le formidable Idris Elba…
Sixième album de Dexys (ex-Midnight Runners) en plus de quarante ans, The Feminine Divine est une improbable collection de chansons tantôt soul, tantôt modernes glorifiant notre soumission à l’amour de la femme.
C’est bien joli de vouloir inspirer les jeunes femmes victimes de préjugés, mais pour cela, il faudrait que la loi de la plus forte bénéficie d’un scénario beaucoup moins édulcoré et plus réaliste !
Il est grand temps que les auteurs de fictions musicales s’intéressent au rap, qui est quand même le genre musical de notre époque. Le cinéma – français en particulier – étant désespérément à la traîne, c’est une BD qui s’y colle. Avec un vrai succès…
A partir d’un pitch assez extraordinaire, gros concept SF ouvrant sur une multitude de situations passionnantes, Stéphane Lafleur livre avec On dirait la planète Mars un film tiède et trop long, occasionnellement sauvé par de bons gags.
Malgré un sujet passionnant, la marchandisation de la vie humaine, Paradise passe à côté du grand film de Science-fiction politique qu’il aurait dû être, de manière assez incompréhensible. Faute d’un auteur aux commandes du film ?
En France, on connaît mal Jack Ladder, un autre baryton prodigieux venu d’Australie. Son dernier album, Tall Pop Syndrome, et son passage par le Festival de Binic devraient aider à révéler un artiste passionnant.