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Tous les albums de Bowie : 4. Hunky Dory (1971)
Tout le monde – ou presque, – adore Hunky Dory, alors que Bowie n’a pas encore acquis la maîtrise dont il fera preuve seulement quelques mois plus tard. Pourquoi ? Tentative de réponse.
Tout le monde – ou presque, – adore Hunky Dory, alors que Bowie n’a pas encore acquis la maîtrise dont il fera preuve seulement quelques mois plus tard. Pourquoi ? Tentative de réponse.
Il est quand même rare désormais pour le fan de polars scandinaves de tomber sur un livre du calibre de cet Enquêteur Agonisant, d’un auteur suédois célébré dans son pays mais à peu près inconnu en France : un petit bijou combinant rigueur policière, critique politique et humour revigorant.
Et comme tous les ans, avec l’exil général hors de Paris et la saison des Festivals, juillet voit notre programme se dépeupler, particulièrement après le 14 juillet. Mais tout n’est pas perdu…
Chronique ultraréaliste mais distanciée de deux expéditions désastreuses en Arctique, No limit offre une approche conceptuelle de la survie « en milieux hostiles », et confirme que Luke Healy est l’un des auteurs contemporains de BD les plus prometteurs.
On Pain, le douzième album solo de Lloyd Cole, quasiment tout électronique, a certes quelques titres discutables, mais aussi plusieurs chansons absolument superbes, qui valident la nouvelle direction prise par notre ancien auteur-compositeur intello et charmeur.
En s’attaquant au problème essentiel du mélange des cultures liés à l’immigration, et en le conceptualisant via la complémentarité des 4 éléments, Pixar visent haut. Mais reviennent vite à une histoire toute simple d’histoire d’amour empêchée. Est-ce un bien ou un mal ?
Divertissement roboratif, Sisu recycle dans le contexte de la libération de la Finlande en 1944 tous les clichés du film d’action des années 80, revisités à la manière de Tarantino et des western spaghettis. Surprise : on s’amuse beaucoup devant ce film qui semble ne reculer devant rien…
Ce soir, alors que tout ce que Paris compte de fans de rock est au Stade de France pour Depeche Mode, nous avons préféré quant à nous passer la soirée avec les Rennais spécialistes du garage rock à consonance grunge, Clavicule.
Trois ans plus tard, Netflix a ressuscité Tyler Rake, qui revient dans un second film tout aussi spectaculaire et tout aussi creux. Pour amateurs avertis…
Premier album de la période « classique » de Bowie, The Man Who Sold The World est l’une de ses œuvres les plus singulières, en particulier parce qu’elle fut créée de manière collaborative avec Ronson et Visconti.