« Empire of Light » de Sam Mendes : entre somnolence et dégoût
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
On savait Mendes très mauvais – malgré sa bonne réputation usurpée – mais avec Empire of Light, il bat tous les records d’insignifiance et d’incompétence. Un navet exemplaire.
Si Reda et Yvonne rêvent de faire rire le monde entier, ou tout au moins d’abord le public d’un bar ordinaire, il n’y a finalement pas grand-chose de drôle dans leur histoire que nous raconte Mort de rire : c’est plutôt du côté de l’émotion que le livre de Lacombe fait mouche…
Descendu en flammes par la critique cinématographique US – celle qui « compte » – le second film de Florian Zeller mérite-t-il autant d’indignité ? On vous donne notre avis…
King Gizzard &The Lizard Wizard, Pixies, Morrissey, Shame, The Stranglers, dEUS, Louise Attaque, Aldous Harding… beaucoup de très beaux noms à l’affiche à Paris et en région parisienne en mars…
Comment faire de l’indie pop à Paris en 2023 ? En y ajoutant des cuivres et en parlant directement au cœur de tout un chacun, répondent En Attendant Ana qui nous offrent avec Principia leur meilleur album à ce jour.
Alors que Paris semblait glacial et triste, le meilleur endroit pour se réchauffer en ce samedi soir était Petit Bain, où Circa Waves prouvaient que la grande pop anglaise, gaie, rapide, excitante, reste une proposition irrésistible.
On reparle beaucoup de la version Netflix de A l’Ouest, rien de nouveau, célébré par les BAFTA en Grande-Bretagne et attendue aux Oscars. Mais ce remake mérite-t-il autant d’attention ?
Au-delà d’un scénario qui emprunte largement les ficelles classiques d’un Harlan Coben, la seule bonne raison de regarder l’Abîme réside dans la beauté des paysages et l’originalité des décors. Pas certain que ça soit suffisant…
Hier soir, on inaugurait pour notre part la Marbrerie de Montreuil, pour accueillir le groupe chouchou de nombre d’entre nous, un peu plus d’un an après leur dernier passage à Paris, lestés cette fois d’un excellent nouvel album.
Rire de la religion est osé, dangereux peut-être en notre époque d’intolérance généralisée. Mais comme Genèse & Prozac est absolument hilarant, et diablement intelligent en plus, les excités de la foi auront peut-être pitié de l’âme de Rémi Lascault et d’Ami Inintéressant…