Voyage au bout de l’ennui avec « I’m Easy To Find » de The National
Avec leur huitième album, I Am Easy To Find, The National continue de diluer toute l’originalité qui faisait le sel des grands disques de la bande de Cincinnati. Analyse d’un échec
Avec leur huitième album, I Am Easy To Find, The National continue de diluer toute l’originalité qui faisait le sel des grands disques de la bande de Cincinnati. Analyse d’un échec
Et si Midlife, le nouveau disque de Renaud Brustlein alias H-Burns était la revanche des gens ordinaires à l’orée de la bilan de moitié de vie ?
Avec Titanic Rising, son quatrième album, l’américaine Weyes Blood accède enfin à une reconnaissance publique. Mais le disque mérite-t-il toutes les éloges qu’il récolte ? Analyse d’un phénomène
L’australien Paddy Mann, à la tête de Grand Salvo, continue de sortir des chefs-d’oeuvre et cela dans une quasi indifférence. Et si nous tentions de réparer cette injustice avec ce Sea Glass somptueux comme nous en avons pris la fâcheuse habitude avec le monsieur.
Depuis 1997, le trop rare Cyril Secq et son collectif Astrïd échafaudent une architecture fragile entre brumes et ciment poreux à l’image de A -Porthole, première partie d’une déclinaison en deux phases.
Après une escapade en solo plutôt réussie avec Behind The Shadow Drops en 2017, Takaakira « Taka » Goto Yoda, le leader du groupe Mono réactive son projet initial avec un disque nourri d’abrasions et de sons inédits pour le collectif japonais.
Certains d’entre vous n’ont pas conscience de la chance qu’ils ont en découvrant avec retard l’univers somptueux et subtile de l’anglaise Sophia Michalitsianos alias Sol Seppy avec IAAYA (I Am As You Are), ce nouvel album miraculeux.
Ceux qui sont surpris voire choqués par l’orientation électronique de Lambchop depuis deux albums, Flotus en 2016 et ce This Is What I Wanted To Tell You se sont peut-être fait une image préconçue et forcément un peu fausse de la bande de Nashville entre Country Ouatée et balades crépusculaires
Scott Walker est mort trop tôt à 76 ans le 25 mars dernier, suivant de près Mark Hollis. Par-delà le manque qu’il laisse parmi nombre d’entre nous, à l’orée de sa disparition, on peut pleinement prendre conscience de l’unanimité du jugement autour du génie de ce parcours d’un artiste hors norme.
Avec leur second disque, Sauvage Innocence, Les imprudents et notre collaborateur Dionys Décrevel, parolier du groupe signent des chansons où se côtoient en belle intelligence lyrisme et pudeur.