Avec « You Want It Darker », Leonard Cohen s’avance à nu dans son costume acoustique et hésite entre le constat glaçant et l’œuvre testamentaire. Peu importe la réponse, c’est avant tout un immense disque du monsieur.
Voilà 25 ans que Neil Hannon avec The Divine Comedy nous balade de disque en disque. Certains relevant de la bonne pioche, d’autres d’un petit goût d’anecdotique. Foreverland se tient dans un exact entre-deux.
Avec Fell, John Cunningham signe un retour magistral qui n’est pas sans rappeler celui de The Apartments avec cette même consistance qui est donné à celui qui a vécu la souffrance et la joie.
Bon Iver va faire couler beaucoup d’encre avec ce troisième album. Il va également diviser et provoquer de petits remous dans la blogosphère. A vous de juger !
Matthew Cooper, qui est loin d’en être à son coup d’essai en terme de création de joyaux, signe le meilleur album d’Eluvium avec False Readings On.
Fabien Guidollet et Sammy Decoster nous offrent avec La Maison Sous Les Eaux et leur projet Facteurs Chevaux un disque de folk minimal qui doit beaucoup aux orchestrations vocales des Everly Brothers.
Dans la lignée des précédents albums de Cass McCombs, « Mangy Love » est habité de mélodies lumineuses au service de textes sans concession.
Owen est de retour avec The King Of Whys, un huitième album rempli de comptines pour adultes parmi les plus belles que vous entendrez cette année.
Comme on pouvait le craindre, Skeleton Tree, le nouveau disque de Nick Cave avec ses Bad Seeds est une œuvre terrible. Du fond du gouffre, Nick Cave extrait le meilleur album de sa carrière. Une épreuve qui ne laissera personne indemne.
Avec My Woman, Angel Olsen revient avec un disque qui dépasse toutes les espérances que l’on avait mis en elle, loin du cliché de la […]