La Cendre aux yeux, de Jean Forton
On ne saurait trop remercier les éditons du Dilettante de remettre sur le devant de la scène des auteurs tombés dans l’oubli et qui ne […]
On ne saurait trop remercier les éditons du Dilettante de remettre sur le devant de la scène des auteurs tombés dans l’oubli et qui ne […]
Shelley Short / B R OAD WAY / Laudanum / Scary Mansion / Wolfmother / The Phenomenal Handclap Band / Nasser / Blind Cave Salamander […]
Trois femmes, trois récits, trois parties d’un foisonnant roman. Marie NDiaye propose un triptyque autour de l’exil et le choix de sa destinée. Trois portraits forts pour un livre impressionnant, lauréat du prix Goncourt de cette année 2009.
Hommage aux grands noms de l’americana ou ambitieux projet des nouveaux Grandaddy français ? Fairguson ne tranche pas, et ose un album intemporel et gracieux de folk-rock impeccable.
En ce temps de frilosité sociale générale, les mots du « philosophe le moins lu de France » selon l’auteur, dynamitent tout sur leur passage, et font de ce précis de pensée futile et de fausse vacuité, un parfait antidote à presque tout ce qui nous emmerde.
Crépusculaire et émouvant, d’une classe folle et beau à pleurer, le ex- Pulp et crooner anglais Richard Hawley offre un chef-d’oeuvre à nos oreilles attendries.
A contre-courant de la pop primesautière de leurs débuts, le groupe décide d’un concept-album automnal et cotonneux, histoire d’une rupture mélancolique et gracieuse, mais qui ennuie presque par trop de préciosité et de langueur plaintive.
Album de reprises folk un peu anecdotique de la part du grand songwriter écossais.
Malgré la frénésie de Swift à sortir près d’un album par an, The Atlantic Ocean peut enfin devenir son chef-d’oeuvre : onze pop-songs denses et délicates, un bonheur musical simple et presque funky, tous synthés dehors.
Avec ce genre d’artiste, ce sont deux camps qui s’affrontent : ceux qui adorent et ceux qui détestent. Je fais malheureusement partie de la deuxième […]