Chantre d’une computer-music marinée d’euro-dance, le Bruxellois Real Trvth théorise, sur son album 333, la prise de contrôle de l’espèce humaine par les extraterrestres. Perché, vous avez dit perché ?
Dromonia, le second album du duo parisien Bracco paru sur Born Bad Records propose un alliage cinglant d’attitude rock et de compositions électroniques. Parfait pour les adeptes des soirées Fuck me i’m infamous!
En 1984, la formation new wave de Nancy, OTO, dynamitait les convenances avec leur premier maxi 45 tours Anyway. L’objet est enfin réédité par l’entremise du label messin Replica records.
Le groupe français Phoenix survole ses contemporains avec une facilité déconcertante sur nouvel album Alpha Zulu. Il y excelle dans une électro-pop stimulante et aisée, quoique convenue.
Avec Exilé de l’Aube, le François Rivière De Corps sème le chaos à coups de claviers cradingues et boites à rythmes dégueulasses… et reboote les cerveaux pour le pire, à travers une tragédie musicale en six actes.
Avec Stumpwork, leur second album, les Londoniens de Dry Cleaning s’éloignent du post-punk rugueux de New Long Leg (2021) pour une coloration plus pop et intime.
JD Beauvallet, cofondateur des Inrockuptibles. Dès 1982, il se fixe à Manchester, puis Liverpool et devient ainsi un témoin privilégié de cette nouvelle vague musicale entichée d’audace et de liberté : la new wave.
De retour d’une mini tournée aux USA, Dombrance remplit la Gaîté Lyrique à Paris et repart sur les routes avec pour objectif de faire danser la France et partager in situ son premier album, République Electronique.
Lors de son passage au Grillen à Colmar, les musiciens américains de Dummy se sont arrêtés quelques minute au micro de BENZINEMAG pour évoquer notamment leur installation à Los Angeles, leur album à venir et leur tournée.
Retour improbable et réussi pour la formation cold-wave belge The Ultimate Dreamers, qui se pare d’un single aux atouts imparables.