Revenir de Jessica Palud : raviver les vivants
Pour son deuxième long métrage, Jessica Palud adapte un roman de Serge Joncour pour en faire un film à l’os, sorte de drame intimiste déjà vu qui ne s’embarrasse ni de psychologie ni de glamour.
Pour son deuxième long métrage, Jessica Palud adapte un roman de Serge Joncour pour en faire un film à l’os, sorte de drame intimiste déjà vu qui ne s’embarrasse ni de psychologie ni de glamour.
Après le réussi Goodnight mommy en 2015, Veronika Franz et Severin Fiala reviennent avec une sorte de film d’épouvante psychologique à moitié convaincant.
Prévu initialement au cinéma le 25 mars dernier, The room, comme tant d’autres films face au confinement, bénéficie aujourd’hui d’une sortie VOD. Une fable noire et intéressante sur la tangibilité de nos désirs, et le désenchantement qui va avec.
Light of my life de Casey Affleck est un film magnifique sur l’amour inconditionnel d’un père pour sa fille survivant dans un monde où une pandémie a éradiqué la quasi totalité de la population féminine.
Philippe Nahon nous a quitté dimanche dernier à l’âge de 81 ans. Retour sur le rôle de sa vie (et son seul vrai premier rôle) qui allait marquer sa carrière à jamais : celui du boucher assassin ruminant sa frustration et sa haine dans Carne et Seul contre tous.
Naomi Watts est elle aussi confinée, écrivaine en panne d’inspiration recluse dans son appartement du Bronx en ce brûlant mois de juillet 1977. Deuxième film du prometteur Alistair Banks Griffin, The wolf hour est pourtant un semi-échec.
Il y a 29 ans jour pour jour (le 10 avril 1991), Le silence des agneaux sortait sur les écrans, prêt à traumatiser le monde entier. À cette occasion, retour sur le film culte de Jonathan Demme qui offrit ses lettres de noblesse à un genre trop longtemps décrié, le film de serial killer.
Rasmus Kloster Bro signe un premier film en forme de survival claustrophobique, plongeant une jeune journaliste dans les entrailles de la terre où elle devra affronter ses peurs et le pire des instincts de survie humains.
Douze ans avant Catherine Deneuve dans Les prédateurs, Delphine Seyrig envoûtait l’écran en vampire chic et évaporée dans cette relecture arty de la légende de la comtesse Báthory.
Huit ans après son magnifique Oh boy, Jan-Ole Gerster revient avec Lara Jenkins, un doux et cruel portrait de femme, et surtout de mère terrible, à l’aube d’une soixantaine désabusée.