Terminator – Dark fate : vieux pots et vieille soupe
Sixième opus d’une saga qui n’arrive décidément pas à se réinventer, Terminator – Dark fate n’est qu’un condensé malhabile des deux premiers épisodes. Plaisant, mais sans surprise.
Sixième opus d’une saga qui n’arrive décidément pas à se réinventer, Terminator – Dark fate n’est qu’un condensé malhabile des deux premiers épisodes. Plaisant, mais sans surprise.
Dans La bonne réputation, Alejandra Márquez Abella filme le délitement de l’élite mexicaine durant la crise économique de 1982 qui frappa alors le pays. Cruel et raffiné.
À l’occasion de l’exposition Francis Bacon qui se tient actuellement au Centre Pompidou, retour sur Love is the devil réalisé par John Maybury en 1998, seul film évoquant l’homme et l’artiste à travers sa relation avec George Dyer.
En cherchant à transposer ses thèmes fétiches dans l’univers de la science-fiction, James Gray ne livre malheureusement qu’un film sentencieux qui empile clichés et maladresses.
Après New York et la Bourgogne, Cédric Klapisch revient à Paris filmer deux trentenaires paumés entre petite déprime et désert sentimental. Sans conséquences et gentil tout plein.
Pour les cinéphiles éventuellement aventureux, Albert Serra signe un film lent et hypnotique autour de libertins en plein ouvrage, la nuit dans une forêt.
Apocalypse now ressort en version restaurée 4K avec un nouveau final cut et un montage inédit supervisés par Coppola lui-même. L’occasion de revenir sur ce chef-d’œuvre fou et immanquable du septième art.
Olivier Ducastel et Jacques Martineau se sont amusés à bricoler, en quelques jours, un film-concept qui tourne vite à l’exercice de style assez vain.
Fatih Akin s’empare de l’histoire de Fritz Honka, tueur en série à Hambourg au début des années 70, pour en faire une farce horrifique qui n’hésite jamais à se vautrer dans l’outrance.
La bande à Woody, après un troisième opus magnifique, est de retour pour de nouvelles aventures qui, hélas, laissent un goût de redite et d’imperceptible ennui.