Sauvage : walk on the wild side
Pour son premier long-métrage, Camille Vidal-Naquet suit les pas d’un jeune prostitué sans attache, marginal et amoureux. Un film rude et caressant à la fois.
Pour son premier long-métrage, Camille Vidal-Naquet suit les pas d’un jeune prostitué sans attache, marginal et amoureux. Un film rude et caressant à la fois.
Une guerre entre voisins révèle les bassesses d’une société islandaise tout en colères et frustrations. Gentiment cynique et pas mal décevant.
Malgré une mise en scène impeccable, le nouveau film de David Robert Mitchell (It Follows) déçoit et pâtit de sa trop grande ressemblance avec le Mulholland Drive de David Lynch.
Huit ans après le choc Notre jour viendra, Romain Gavras revient avec une farce branchouille qui ne propose rien de plus qu’un sympathique foutoir nappé de soupe populaire.
Sixième mission impossible pour Ethan Hunt, entre poursuites endiablées parisiennes et londoniennes et combat d’hélicoptères au Cachemire. Spectaculaire et distrayant, mais sans vraiment d’originalité.
Entremêlant polar pluvieux, chronique sociale et histoire d’amour, Une pluie sans fin ne parvient jamais à trouver le bon timing pour faire coexister ces trois genres.
Thomas Riedlsheimer retrouve le land artist Andy Goldsworthy pour une nouvelle exploration de son travail, en prise directe avec la Nature, ses matières et ses formes.
Avec Dogman, Matteo Garrone revient aux choses plus que sérieuses en adaptant un terrible fait divers qu’il transforme en une allégorie religieuse, âpre et macabre.
Christopher Radcliff et Lauren Wolkstein signent avec The strange ones un premier film beau et envoûtant, road movie irréel de deux frères aux relations troubles.
Au poste ! Un gentil petit exercice de style entre amis où Quentin Dupieux tâte une fois de plus de l’absurde et du non-sens. Mais sans parvenir à se renouveler.