Love hunters – Ben Young
Pour son premier film, l’Australien Ben Young raconte les méfaits d’un couple de kidnappeurs et d’assassins dans un thriller atmosphérique assez dérangeant.
Pour son premier film, l’Australien Ben Young raconte les méfaits d’un couple de kidnappeurs et d’assassins dans un thriller atmosphérique assez dérangeant.
À l’occasion de sa (re)sortie aujourd’hui en version restaurée, retour sur Stalker, le chef-d’œuvre d’Andreï Tarkovski.
Quand tu regardes de la merde, la merde te regarde aussi.
Un huis clos psychologique en temps d’apocalypse, qui scrute la lente destruction de deux familles jusqu’au noir de l’abîme.
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Cédric Klapisch se vautre à filmer une saga familiale du terroir dont il ne parvient jamais à dynamiter les clichés et les éternels ressorts dramatiques. Un échec sans appel.
Ce sera un work in progress, un long. Ce sera une critique dans le temps, une critique qui s’écrira au fur et à mesure de la diffusion des nouveaux épisodes de Twin Peaks pour rendre compte de ses éclats (ou ses revers), de son évolution et de son rapport à sa propre légende.
Ozon avait matière à réaliser une grande œuvre schizophrénique, pleine de mystères et de séduction. A la place, il nous sert un thriller gentiment polisson.
Après Bruno Nuytten, Jacques Doillon s’attaque à son tour à l’ogre Rodin sans jamais en saisir la fiévreuse intimité, dans son travail comme dans ses amours.
Arnaud Desplechin filme l’art, l’amour et la mort (et le cinéma) à travers un mille-feuille scénaristique habile, mais dont on sent l’artifice poussé jusqu’à ses limites.