Les proies – Sofia Coppola
Sofia Coppola adapte, après Don Siegel, le roman de Thomas P. Cullinan pour n’en livrer qu’un joli livre d’images, anecdotique et sans tension.
Sofia Coppola adapte, après Don Siegel, le roman de Thomas P. Cullinan pour n’en livrer qu’un joli livre d’images, anecdotique et sans tension.
Une grande fresque sur les années Act Up-Paris au début des années 90, entre dimension pédagogique, valeur testamentaire et variations plus intimes.
Sebastián Lelio redonne fierté et honneur aux transgenres mais en oublie, en cours de route, de nous passionner pour Marina, sa belle héroïne almodovarienne.
Bong Joon-ho signe une fable écolo-naïve, entre Spielberg et Miyazaki, éminemment sympathique, formellement réussie mais un rien décevante dans sa globalité.
Pour son premier film, l’Australien Ben Young raconte les méfaits d’un couple de kidnappeurs et d’assassins dans un thriller atmosphérique assez dérangeant.
À l’occasion de sa (re)sortie aujourd’hui en version restaurée, retour sur Stalker, le chef-d’œuvre d’Andreï Tarkovski.
Quand tu regardes de la merde, la merde te regarde aussi.
Un huis clos psychologique en temps d’apocalypse, qui scrute la lente destruction de deux familles jusqu’au noir de l’abîme.
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Cédric Klapisch se vautre à filmer une saga familiale du terroir dont il ne parvient jamais à dynamiter les clichés et les éternels ressorts dramatiques. Un échec sans appel.