Get out – Jordan Peele
Sorte de cauchemar domestique qui aurait parfaitement assimilé le meilleur de Polanski, Get out finit pourtant par décevoir quand il s’agit de conclure son intrigue.
Sorte de cauchemar domestique qui aurait parfaitement assimilé le meilleur de Polanski, Get out finit pourtant par décevoir quand il s’agit de conclure son intrigue.
Un survival coréen à base de tunnel et d’éboulis par le réalisateur de Hard day, plutôt plaisant mais révélant très vite ses limites.
Un premier film surprenant, mais pas complètement abouti, sur la pratique de l’ukwaluka et la question de l’homosexualité en Afrique du Sud.
Au cœur d’une nature farouche et d’intérieurs stricts, Oldroyd en magnifie la noirceur, le fiel et la modernité avec une douceur étonnante.
Entre naturalisme et bizarrerie, Ivan I. Tverdovsky filme une femme a qui il a poussé une queue. Curieux, mais inégal.
Premier film rentre-dedans sur l’éveil des sens et des désirs d’une jeune fille végétarienne, version sang qui coule et viande juteuse. Alléchant.
Vingt ans après, Danny Boyle et ses junkies stars reviennent solder les comptes. Si la carte nostalgie fait son petit effet, le film cultive malheureusement un côté bâtard et déjà daté.
Mike Mills, six ans après Beginners, évoque les souvenirs épars de sa mère dans un joli film qui parle, avec un charme fou, du temps qui passe.
La grande œuvre dont a longtemps rêvé Martin Scorsese, et malgré ses nombreuses qualités esthétiques, offre un détachement stylistique qui ressemble davantage à un aveu d’impuissance.
Le rêve américain et le road movie façon Andrea Arnold, pulsés par une bande de jeunes ados cherchant un monde à eux dans une Amérique exsangue.