
Free fire – Ben Wheatley
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Martin Scorsese produit Ben Wheatley qui fait du Quentin Tarantino alors qu’il aurait pu faire du John McTiernan.
Cédric Klapisch se vautre à filmer une saga familiale du terroir dont il ne parvient jamais à dynamiter les clichés et les éternels ressorts dramatiques. Un échec sans appel.
Ce sera un work in progress, un long. Ce sera une critique dans le temps, une critique qui s’écrira au fur et à mesure de la diffusion des nouveaux épisodes de Twin Peaks pour rendre compte de ses éclats (ou ses revers), de son évolution et de son rapport à sa propre légende.
Ozon avait matière à réaliser une grande œuvre schizophrénique, pleine de mystères et de séduction. A la place, il nous sert un thriller gentiment polisson.
Après Bruno Nuytten, Jacques Doillon s’attaque à son tour à l’ogre Rodin sans jamais en saisir la fiévreuse intimité, dans son travail comme dans ses amours.
Arnaud Desplechin filme l’art, l’amour et la mort (et le cinéma) à travers un mille-feuille scénaristique habile, mais dont on sent l’artifice poussé jusqu’à ses limites.
Suite directe de Prometheus visant à faire le lien avec Alien, Alien: Covenant se donne des airs d’explication de texte sentencieuse sacrifiant personnages et légende de la Bête.
Sorte de cauchemar domestique qui aurait parfaitement assimilé le meilleur de Polanski, Get out finit pourtant par décevoir quand il s’agit de conclure son intrigue.
Un survival coréen à base de tunnel et d’éboulis par le réalisateur de Hard day, plutôt plaisant mais révélant très vite ses limites.
Un premier film surprenant, mais pas complètement abouti, sur la pratique de l’ukwaluka et la question de l’homosexualité en Afrique du Sud.