T2 Trainspotting – Danny Boyle
Vingt ans après, Danny Boyle et ses junkies stars reviennent solder les comptes. Si la carte nostalgie fait son petit effet, le film cultive malheureusement un côté bâtard et déjà daté.
Vingt ans après, Danny Boyle et ses junkies stars reviennent solder les comptes. Si la carte nostalgie fait son petit effet, le film cultive malheureusement un côté bâtard et déjà daté.
Mike Mills, six ans après Beginners, évoque les souvenirs épars de sa mère dans un joli film qui parle, avec un charme fou, du temps qui passe.
La grande œuvre dont a longtemps rêvé Martin Scorsese, et malgré ses nombreuses qualités esthétiques, offre un détachement stylistique qui ressemble davantage à un aveu d’impuissance.
Le rêve américain et le road movie façon Andrea Arnold, pulsés par une bande de jeunes ados cherchant un monde à eux dans une Amérique exsangue.
Magnifique documentaire explorant les souvenirs d’enfance et d’adolescence d’un des cinéastes les plus importants de ces 50 dernières années.
Portrait glacial et introspectif de Jackie Kennedy, dont Pablo Larraín déconstruit le mythe pour magnifier la femme, simple, digne et en deuil.
Un premier film sincère et maladroit, porté en entier par Kévin Azaïs, intense en petit animal ruant et fragile.
Couvert de louanges, plébiscité aux prochains Oscars et adapté d’une pièce de théâtre d’un jeune auteur inconnu, une œuvre pudique et frémissante sur un homme qui s’est construit dans le déni, la colère et l’artifice.
Derrière la bonne intention, un film ultra-conventionnel et maladroit, grotesque même jusqu’à en desservir sa cause et sa portée.
Histoire d’une vengeance et de drame passionnel que Tom Ford transforme en joujou trop évident dans sa mécanique et ses jolis atours.