
« Mon parfait inconnu » de Johanna Pyykkö : subjectif imparfait
Pour son premier long métrage, Johanna Pyykkö explore les troubles et désirs d’une jeune femme rêvant d’une vie rêvée qu’elle ne vit (ne vivra ?) pas. Sujet passionnant, mais auquel Pyykkö peine constamment à donner corps.