
The Young Lady – William Oldroyd
Au cœur d’une nature farouche et d’intérieurs stricts, Oldroyd en magnifie la noirceur, le fiel et la modernité avec une douceur étonnante.
Au cœur d’une nature farouche et d’intérieurs stricts, Oldroyd en magnifie la noirceur, le fiel et la modernité avec une douceur étonnante.
Entre naturalisme et bizarrerie, Ivan I. Tverdovsky filme une femme a qui il a poussé une queue. Curieux, mais inégal.
Premier film rentre-dedans sur l’éveil des sens et des désirs d’une jeune fille végétarienne, version sang qui coule et viande juteuse. Alléchant.
Vingt ans après, Danny Boyle et ses junkies stars reviennent solder les comptes. Si la carte nostalgie fait son petit effet, le film cultive malheureusement un côté bâtard et déjà daté.
Mike Mills, six ans après Beginners, évoque les souvenirs épars de sa mère dans un joli film qui parle, avec un charme fou, du temps qui passe.
La grande œuvre dont a longtemps rêvé Martin Scorsese, et malgré ses nombreuses qualités esthétiques, offre un détachement stylistique qui ressemble davantage à un aveu d’impuissance.
Le rêve américain et le road movie façon Andrea Arnold, pulsés par une bande de jeunes ados cherchant un monde à eux dans une Amérique exsangue.
Magnifique documentaire explorant les souvenirs d’enfance et d’adolescence d’un des cinéastes les plus importants de ces 50 dernières années.
Portrait glacial et introspectif de Jackie Kennedy, dont Pablo Larraín déconstruit le mythe pour magnifier la femme, simple, digne et en deuil.
Un premier film sincère et maladroit, porté en entier par Kévin Azaïs, intense en petit animal ruant et fragile.