Nocturama – Bertrand Bonello
Un magnifique opéra de mort pour l’un, un film creux au personnages archétypaux et vides. Le dernier film de Bonello partage la rédaction.
Un magnifique opéra de mort pour l’un, un film creux au personnages archétypaux et vides. Le dernier film de Bonello partage la rédaction.
Avec « Dernier train pour Busan », Sang-Ho Yeon signe un blockbuster coréen bien fichu, avec des zombies dedans, mais simple copié-collé d’une production hollywoodienne standard.
Variation sur le désamour, façon pragmatique et financière. Un parti-pris scénaristique singulier qui manque pourtant de nuances et de sentiments.
Réunion de famille à la roumaine autour d’un mort, entre ironie glacée et Pope qui se fait attendre. Trop long pour dire si peu.
Après The Murderer, Na Hong-Jin revient avec un thriller qui va bousculer nos croyances et nos perceptions en matière de figures du Bien et du Mal.
Grandrieux, toujours à la marge, s’abîme dans une œuvre monstre où son style, sidérant avant, se corrompt en affèteries poseuses et consensualité morbide.
Retour sur l’une des séries les plus marquantes de ces vingt dernières années (et parce qu’il n’y a pas que Game of thrones dans la vie), dédale métaphysique et épopée existentielle (ré)inventant les mécanismes de la condition humaine.
Tarzan tombe amoureux d’une châtaigne : du rigolo barré dans la jungle entre éclats de rire, moments slapstick et coups de mou.
Fable morbide et fantasmatique sur les illusions de la beauté, entre fétichisme sublimé et critique ressassée.
Présenté au festival de Gérardmer début 2016, The Witch se singularise par une absence d’effets horrifiques et une esthétique romantico-fantastique très picturale. Un angoissant premier film.