
The strangers – Na Hong-Jin
Après The Murderer, Na Hong-Jin revient avec un thriller qui va bousculer nos croyances et nos perceptions en matière de figures du Bien et du Mal.
Après The Murderer, Na Hong-Jin revient avec un thriller qui va bousculer nos croyances et nos perceptions en matière de figures du Bien et du Mal.
Grandrieux, toujours à la marge, s’abîme dans une œuvre monstre où son style, sidérant avant, se corrompt en affèteries poseuses et consensualité morbide.
Retour sur l’une des séries les plus marquantes de ces vingt dernières années (et parce qu’il n’y a pas que Game of thrones dans la vie), dédale métaphysique et épopée existentielle (ré)inventant les mécanismes de la condition humaine.
Tarzan tombe amoureux d’une châtaigne : du rigolo barré dans la jungle entre éclats de rire, moments slapstick et coups de mou.
Fable morbide et fantasmatique sur les illusions de la beauté, entre fétichisme sublimé et critique ressassée.
Présenté au festival de Gérardmer début 2016, The Witch se singularise par une absence d’effets horrifiques et une esthétique romantico-fantastique très picturale. Un angoissant premier film.
Verhoeven revient aux affaires dans un thriller sournois et feutré se consumant de ses propres excès.
Jeremy Saulnier se réapproprie les codes du genre Survival dans un film sanglant et très réussi dans sa première moitié.
Quête (é)perdue d’avance du père et du désir entre deux amants que tout oppose, mais trop sûre sans doute de sa maîtrise, héritière de Bresson et Haneke.
Une femme quittée par son mari décide de tout reprendre à zéro. Mia Hansen-Løve raconte ce nouveau départ dans un film qui alterne les moments de grâce avec des scènes plus convenues.