A trois on y va – Jérôme Bonnell
Ce pourrait être une fable de La Fontaine singée par une piètre plume, ou un récit à la Sade par un vain libertin, ou du Labiche sauce maigre, et qui s’appellerait Le vit, le con et l’ingénue, où donc le vit cogite, le con se tâte et l’ingénue ne sait plus.