
« Asteroid City » : l’impasse artistique se poursuit dans le désert
Cherchant en partie à renouer avec les thèmes des meilleurs films de Wes Anderson, Asteroid City se perd à force de trop de cérébralité et d’une narration inutilement alambiquée.
Cherchant en partie à renouer avec les thèmes des meilleurs films de Wes Anderson, Asteroid City se perd à force de trop de cérébralité et d’une narration inutilement alambiquée.
Difficile d’espérer du professionnalisme des Black Keys plus qu’un « bon concert », ce qui n’est déjà pas si mal, mais ils nous avaient réservé pour cette soirée au Zénith une jolie surprise finale…
Spider-Man: Across the Spider-Verse régale en appuyant sur l’accélérateur de la frénésie visuelle du premier volet. Il contient hélas sa part de réchauffé Marvel et a des airs de long teaser du volet suivant.
La Paris La Défense Arena n’est pas le lieu de région parisienne le plus approprié pour un concert. Cela n’a pas empêché le Boss et son E Street Band d’être à la hauteur de leur réputation de machine de guerre scénique imparable.
Avec leur Dictionnaire du Cinéma Britannique, Jean-François Baillon et N.T. Binh offrent un panorama exhaustif du cinéma produit au Royaume-Uni… et la réhabilitation d’une cinématographie longtemps sous-estimée en France.
Après la déception Rock en Seine, le second concert des Arctic Monkeys à l’Accor Arena fut une bonne surprise. Mais il raconte aussi en creux les limites du groupe dans des conditions stades/grands festivals.
Si le point d’arrivée de Trenque Lauquen est très vite visible, le film conserve cependant l’art de jouer avec la narration des meilleures productions du collectif El Pampero Cine.
Après de courts essais consacrés à des chansons culte, la collection de Boulon publie un livre narrant la passion dévorante d’un rock critique pour un artiste à l’aura inversement proportionnelle à son succès.
Avec son nouvel album, Yves Tumor, l’artiste dont on n’est pas sûr que Sean Bowie soit le vrai nom de naissance, réussit au prix de quelques scories le mariage de la carpe funk et du lapin rock indé
C’est moins l’originalité qu’une certaine constance dans la rage et l’inspiration qui fait défaut à Blondshell sur son premier album qui vient de paraitre sur le label Partisan Records.