Fat Dog – WOOF. : pas tout à fait à la hauteur des beaux aboiements scéniques
Si les Londoniens de Fat Dog ont défrayé la chronique par leurs volcaniques prestations scéniques, leur premier album WOOF. ne se révèle qu’à moitié convaincant.
Si les Londoniens de Fat Dog ont défrayé la chronique par leurs volcaniques prestations scéniques, leur premier album WOOF. ne se révèle qu’à moitié convaincant.
La seconde journée de Rock en Seine était aussi, du côté de la Grande Scène, celle d’un duel entre des survivants de la vague rock du début des années 2000 (The Hives) et de nouvelles rockstars propulsées par l’Eurovision (Måneskin).
Réconcilié avec Lana Del Rey par la grâce de ses récents tours de force discographiques, notre rédacteur a tenté le coup du concert gigantesque à Rock en Seine, hier soir. Il partage ici ses impressions…
Dans Emilia Perez, un narcotrafiquant veut repartir à zéro en changeant de sexe. Ce désir de changement, c’est aussi celui, peu convaincant, d’un Jacques Audiard voulant arpenter les terrains des identités sexuelles et de la comédie musicale.
Il y a 30 ans, Jeff Buckley sortait en Europe Grace, son seul album publié de son vivant. Un album qui n’attendit pas la mort du chanteur pour être célébré en France.
Avec City of Darkness, Soi Cheang ne corrige qu’en partie les défauts d’écriture de Limbo. Mais il redonne au cinéma hongkongais le goût des bastons martiales enragées.
Conçu en plein début de buzz occidental autour du film d’action RRR, Nouveaux Maîtres du Cinéma Indien : S.S. Rajamouli est un documentaire sur son réalisateur reflétant les mauvais côtés de l’opportunisme à la Netflix.
Gros succès sériel de 2024, cette version de Shōgun a au moins le mérite de ne pas être honteuse… et de permettre de retrouver quelques acteurs/actrices de talent du Soleil Levant.
Le mot surprise ne va pas forcément à No Name, dernier album de Jack White. Mais ce dernier prouve sans effort que fidélité aux Rock des origines ne rime pas toujours avec naphtaline.
Avec Le loup de Wall Street, un film lorgnant autant vers les classiques mafieux des années 1990 que vers les réussites comiques du cinéaste, la collaboration entre Scorsese et DiCaprio atteint son Everest créatif.