Rétrospective Hayao Miyazaki : 9. Le Château Ambulant (2004)
Arrivant après une paire de chefs d’œuvre, Le Château Ambulant largue encore plus les amarres du réel, sans abandonner le tableau miyazakien de l’horreur de la guerre.
Arrivant après une paire de chefs d’œuvre, Le Château Ambulant largue encore plus les amarres du réel, sans abandonner le tableau miyazakien de l’horreur de la guerre.
Sorti de façon très limitée en France, Look Back est un film japonais d’animation en forme de beau récit d’une amitié basée sur la création artistique. Une réussite disposant désormais de sa session de rattrapage VOD grâce à Prime…
Dans Pick Up, la production des Limiñanas habille d’élégance sonore le travail de Brigitte Fontaine. Pour un album entre tribut payé aux grands de la chanson française et iconoclasme musical.
Si A Glitter Year devait beaucoup au Dunedin sound, Head in Flames voit EggS faire sienne l’influence des Replacements.
Dans ses meilleurs moments, Anora est un film d’auteur à la newyorkaise pas très original mais enlevé. Il est hélas aussi laborieux dans son décollage que poussif dans sa conclusion.
Documentaire sur le second album de New Order, Power, Corruption & Lies – Un Album Culte rappelle que les Mancuniens avaient décloisonné les frontières musicales dès le début des années 1980.
En 1997, Miyazaki atteint un Everest cinématographique tout en trustant les sommets du Box Office japonais avec Princesse Mononoké.
Une semaine avant Anora, la Palme d’or cannoise de Sean Baker, Starlet sort enfin en salles en France. L’occasion de découvrir un récit d’amitié intergénérationnelle tirant son charme de petits imprévus.
Remake par John Woo en personne d’une pierre angulaire du cinéma d’action contemporain, The Killer se saborde à coup d’erreurs de casting au kilomètre.
Après la superbe mise en bouche de la Saison 1, la Saison 2 de Pachinko a des airs de saison de transition. Son foisonnement frôle l’indigestion. Contrecoup d’un niveau d’ambition rare dans les séries de ces dernières années ?