Rétrospective Martin Scorsese : 5. Taxi Driver (1976)
Triomphe cannois, Taxi Driver marque la rencontre entre Martin Scorsese et Paul Schrader et consolide le statut de figure de premier plan du cinéma américain des années 1970 du New-Yorkais.
Triomphe cannois, Taxi Driver marque la rencontre entre Martin Scorsese et Paul Schrader et consolide le statut de figure de premier plan du cinéma américain des années 1970 du New-Yorkais.
Il y a quarante ans, un des plus grands groupes du rock anglais sortait son premier album. Avec le torse nu de l’acteur Joe Dallesandro sur la pochette, les Smiths offraient avec un album éponyme le premier et imparfait chapitre d’une belle et brève aventure musicale.
A l’instar des groupes qui ont changé de dimension artistique au troisième album, la troisième tentative sera la bonne pour Scorsese avec Mean Streets, qui pose les bases des futurs chefs d’œuvre mafieux du cinéaste.
Beaucoup a déjà été écrit concernant le duo entre les Pogues et Kirsty MacColl et sur le récemment décédé Shane McGowan. Avec The Pogues – Fairytale of New York, Yann Liotard réussit quand même à en partie éviter le piège du bouquin qui ferait double emploi.
David Bowie – Ashes to Ashes de Marc Dufaud, c’est tout ce que l’on savait déjà sur le Bowie de l’époque et le morceau, documenté avec précision.
Après un premier film au tournage chaotique, la route de Scorsese passe par la Série B. Un cadre dans lequel le cinéaste peine à trouver ses marques.
Au vu des controverses cinéphiles liées à son sujet et de son dispositif radical, le Grand Prix cannois a peu de chances de fédérer. Il demeure cependant une passionnante proposition de cinéma.
Nous commençons une nouvelle rétrospective du travail de Martin Scorsese avec Who’s That Knocking at My Door, un premier film rappelant que tous les coups d’essai ne sont pas des coups de maître !
Avec Hallyuwood, Le Cinéma Coréen, Bastian Meiresonne offre un panorama complet du cinéma coréen en français mettant en relation son présent et son passé.
Avec Menus-Plaisirs – Les Troisgros, Frederick Wiseman pose sa caméra du côté de la haute cuisine française pour une proposition de cinéma au goût pas déplaisant mais restant un peu sur l’estomac.